« Il
s’est contenté de dire qu’un étranger peut aimer Venise davantage que les
Vénitiens. Pour les Vénitiens, elle est une épouse à laquelle ils sont
habitués, qu’ils maltraitent et qui les ennuie, tandis qu’un étranger l’aime
comme une maîtresse, même s’il sait que jamais elle ne l’aimera en
retour. »
Melania G. Mazzucco – La longue attente de l’ange.
Accompagnement musical
C’est au son de la bande sonore
du magnifique film LA GRANDE BELLEZZA que je commence le récit de nos étourderies carnavalesques
de Venise 2014. Je sais, pour certain(e)s puristes, que j’aurais dû garder
cette ambiance musicale pour Rome, dernière soirée de ce dernier voyage. Mais
j’ai tellement cherché pour trouver cet album (en passant, il n’y a plus aucun
marchands de CéDés à Venise !). Ceci est fort probablement dû au fait qu’il ne
reste plus que quelques zoufs, comme moi, qui cherchent encore à acheter des
CéDés – mais au moins, je ne suis plus aux vinyles (les 33 tours), même si
ceux-ci font un retour sur le marché au grand plaisir des marchands de tables
tournantes, ni des cassettes, ni même des cassettes 8 pistes, ni non plus des
45 tours et encore moins des 78 tours… même si j’ai connu tous ces supports de
diffusion de la musique. Vous pourriez me dire on est au 21e siècle
et qu’il fallait l’acheter en ligne et le télécharger, mais essayez donc de le
faire vous, les plus fins !! Impossible de le faire à partir du Canada (pas
distribuer sur les sites de ventes en ligne et encore moins en magasin).
L’acheter à partir d’un site italien, français ou européen, impossible aussi
(car pas la bonne adresse url). Je l’ai même cherché à Londres, en janvier (Impossibile !). J’ai tenté de le télécharger
à Paris (Niente da fare, toujours la
maudite adresse url !). Je l’ai cherché à Malta, encore merda !! Finalement, je l’ai trouvé à Rome après avoir fait trois
magasins et qui plus est, c’était le dernier exemplaire en stock (Bravissimo !).
C’était mon heure de chance, car la dernière heure de magasinage du voyage et
de mon long Chemin de Damas vers cette musique sublime, d’une part, et très Dance Music, d’autre part. Ces Italiens
sont tellement contradictoires. Finalement, et pour vous amener avec moi dans
cette belle ambiance, j’ai trouvé sur You Tube certains extraits de la
bande sonore du film :
- De mon ami Arvo Pärt (souvenez-vous de mon rêve, quand je vous ai parlé de ma
visite de l’exposition Splendorea Venezia, au MBAM), My heart's in the highlands
(Mon cœur est dans les Hautes-terres).
- Du Quartet Kronos, The Beatitudes
(les Béatitudes), le thème musical calme du film, une autre version
avec le générique de la fin du film.
- Pour les amoureux du plancher
de danse, Far L’Amore
(Faire l’amour) en version Club Mix… le thème musical Dance Music du film.
LES PRÉPARATIFS ET LE DÉPART
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Avec cet air bougon et
ce costume quasi pareil aux nôtres, je trouve que cet oiseau de malheur
me ressemble, la journée de mon anniversaire !! |
Je m’étais bien juré à la fin
de notre dernier séjour à Venise que je ne ferais plus de costumes et que nous
pourrions très bien profiter du Carnaval sans ceux-ci. Et L’Autre de me
répliquer : « Bon, c’est
parfait ! ». J’aurais dû être plus inquiet de sa réponse spontanée. Il
devait sans doute y avoir anguille sous roche. Mais, je me suis dit qu’on aura
le temps de voir venir et de prévenir. Le temps passe. Noël arrive et seulement
un commentaire de sa part pour dire qu’il a eu une idée et qu’il a trouvé un
tissu pour les costumes. Encore une fois, je me suis dit qu’il n’y a pas péril
en la demeure, car il aura le temps de changer d’idée au moins cinq fois avant
la fin de février. Nous partons pour Londres, tout est OK ! Février arrive et
encore pas de signe de costumes. Je me dis qu’un miracle est en train de se
produire. L’Autre se serait-il enfin assagi ? Je commence à jubiler. Mais
ma jubilation a été de courte durée, car seulement dix jours avant notre
départ, il m’appelle pour me demander quand j’irai à Montréal, car il y une
séance d’essayage de costumes à faire, au plus vite !... C’est le jour de mon
anniversaire (4 jours avant le départ), que nous avons fait celle-ci. Des bouts
de tissus à peine assemblés. Du faux filage aussi fragile que partiel. Mais je
dois donner à César ce qui appartient à César : l’idée de L’Autre
et ses premières démarches étaient bonnes, mais tellement à la dernière minute.
Vive la pensée magique… mais surtout vive Camilo Mondo résigné qui, ramassant
le tout, repart pour sa campagne et passera le reste de la journée (de 11 h 30
à 22 h 30) à confectionner les costumes avec sa très gentille sœur. Bon
anniversaire Camilo !!??!! Mais surtout gros gros merci à sa sœur Monic (L’Autre
lui en doit toute une !!). C’est finalement deux heures avant le départ pour
l’aéroport que les tous derniers ajustements ont été complétés par moi. Ouf !!
Un fois à l’aéroport, une
surprise nous attendait. Nous avons été surclassés en classe Business
(comme le dit si bien AF). Heureux de cette nouvelle, j’ai envoyé un courriel à
mes amies pour leur faire part de notre chance. Les commentaires de retour
étaient tous sympathiques, sauf celui de la Comtesse qui me répondait de ne pas
la faire c… Sacrilège ! Et quelle surprise de lire ce commentaire rustre d’une
personne si distinguée et noble. Je pense que la jalousie a provoqué un arrêt
momentané de son filtre des bonnes manières. On s’en fout un peu, car on l’aime
quand même !! Et on s’envole pour Paris et Venise.
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Gonfalon de Venise. |
SÉJOUR À VENISE
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Bienvenue à Venise... Il y en a pour tous les goûts ! Lequel achèteriez-vous ? |
Carnevale
+ pioggia = acqua
alta
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Mon dernier message s'intitulait : Eau Carnaval... eh bien, à vos bottes ! |
L’année dernière notre séjour
au Carnaval (début février) nous avait fait vivre notre première tempête de
neige à Venise et notre première acqua alta (voir la page de l’année 2013). Nous nous disions que cette année la météo serait plus
clémente (car en mars) et que le risque d’inondation serait moins grand. On n’a
peut-être pas eu de neige, mais on a plutôt subi un vrai déluge la journée de
samedi. La conséquence, une acqua alta soudaine en soirée, sans sirène d’alarme
annonciatrice. Certains se sont trouvés littéralement le cul à l’eau, mais quasi
tous en ont été quittes pour des souliers mouillés. Nous aussi nous avons eu nos
souliers, pantalon, etc. tout mouillés, non pas à causes de l’acqua alta, mais
bien à cause de la pluie et des rafales de vent à faire rendre l’âme à tout
parapluie. De retour à l’hôtel, nous avons demandé au concierge de nous prêter
des bottes. Les pieds au sec, nous sommes donc repartis nous balader dans la
ville. Pas besoin de vous dire que ce samedi, nous ne nous sommes pas costumés.
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L'acqua alta sur la place San Marc, causée par les pluies torrentielles. |
Le mardi 4 mars, il y a eu une
autre acqua alta, mais cette fois-ci la sirène nous avait prévenus à l’avance.
C’est aussi avec nos bottes que nous nous sommes rendus costumés sur la place
Saint-Marc. Cela a été remarqué, car Linda a trouvé une photo de nous, les deux
pieds dans l’eau. Au final, nous avons aimé le Carnaval de cette année,
sûrement plus que celui de l’année dernière. Est-ce que ceci veut dire que nous
y seront l’année prochaine ?... Et costumé ?!? On verra ! Les paris sont
ouverts !
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Pour une fois j'ai pris une photo d'un vrai costume. Devant quelle porte Linda ? |
Les commandes et
le magasinage
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Qui veut un masque ? |
J’avais un carnet de commandes
chargé afin de faire plaisir à plusieurs ami(e)s. Du savon au chocolat, du
parfum au pot de pâte de pistache, des pistaches vertes à l’essence de pistache
pure, etc. sans oublié un CéDé, des livres, des lunettes de lecture et un
matelot pour moi… et l’ouverture pour toutes autres choses qui s’imposeraient à
nous. L’Autre aussi avait sa liste ! Dans le fond, je pense que nos
amis savent que notre statut Gold de Flying Blue nous avantage
quant au poids et au nombre de valises que nous pouvons transporter, sans frais
additionnels… et que l’ajout de roulettes aux valises (depuis une vingtaine
d’années) a ouvert la porte à tous les excès d’embonpoint « valisière »… Une chance, les malles ne sont plus à la
mode !!
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En attendant le reflux pour servir les clients. |
Aussi, ne soyez pas surpris que
dès les bagages déposés à l’hôtel, nous nous sommes dirigés directement chez Coin (je le répète, le magasin Simons
d’Italie). J’y ai dévalisé le comptoir des savons… j’ai tout raflé les savons Nesti Dante au cyprès (j’en ai un
justement à côté de moi et, en plus d’écouter de la belle musique, je respire l’odeur
sylvestre de la campagne toscane). Je n’ai même pas pu en acheter un d’extra.
D’un même élan, nous nous sommes précipités chez VisioVirtù pour faire le plein de pots de Spalmabile al pistacchio di
Bronte (le nec plus ultra de la pâte de pistache à tartiner ou pour
rendre sublime toutes préparations culinaires… Miam, miam !!). Encore une fois
nous avons vidés les étagères des deux succursales, même que j’aurais aimé en
acheter au moins un de plus (L’Autre, deux), pour être certain
que ma réserve durera jusqu’au prochain voyage à Venise. Je me félicite de mon
empressement dans les deux cas, car si nous avions attendu au lendemain, je ne
suis pas certain que j’aurais pu satisfaire à toutes les commandes. Bon, au
moins, l’essentiel est assuré pour le magasinage de base (mais moins vrai pour
les autres achats)… et Au Diable !
les kilos qui s’ajoutent aux bagages.
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Préférez-vous ceux-ci ? |
Les promenades et
visites
Comme vous l’avez vu en intro
de cette page, j’ai lu récemment La longue attente de l’ange, de
l’auteure italienne Melania G. Mazzucco.
J’ai beaucoup aimé ce roman biographique sur le peintre Jacopo Robusti, dit Tintoretto,
en français Le Tintoret. Cela m’a
donné le goût de retourner dans Cannaregio pour aller voir sa maison
ainsi que certaines de ses œuvres dans l’église Madonna dell’Orto, où il
est également enterré. Tant qu’à y être, nous y avons passé quelques heures à
arpenter ses rues et ruelles et à visiter un peu : le ghetto, l’église San Giobbe,
etc.
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Statue de Maure à l'angle de la maison, en rénovation, du Tintoretto. Encore des échafaudages, on se croirait à New York... ou à Venise !! |
Premier retour à l’Accademia,
depuis notre premier voyage en Italie en 1995. C’était la première fois que je
voyais en totalité l’extérieur du musée, car celui-ci était toujours emballé d’échafaudages
de construction et de bâches publicitaires pour des travaux de rénovation qui
ont duré une éternité. Il est vrai qu’on ne manquait pas grand-chose, car les
trésors et beautés de ce musée sont à l’intérieur. L’Autre, même une fois
terminée la visite, ne se souvenait toujours pas d’y être entré lors de notre
premier séjour à Venise. J’avoue pour ma part, que moi aussi, je ne me
souvenais pas de tout, mais je me souvenais très bien du plafond à caissons de
la somptueuse salle capitulaire Renaissance (héritage de l’ancienne Scuola
della Carità – dans laquelle le musée a été installé) et de quelques
tableaux remarquables. L’Autre et moi avons beaucoup aimé
se replonger dans la Renaissance vénitienne, une pure émotion. La visite à l’Accademia
aura été fort instructive et prémonitoire de la visite qui va suivre.
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Hall d'entrée de la
Scuola Grande di San Marco.
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En effet, cela faisait au moins
quatre ans que j’essayais d’aller visiter la bibliothèque de la Scuola
Grande di San Marco (partie intégrante de l’actuel hôpital de la
ville), mais c’était toujours fermé. Néanmoins cela valait la peine d’attendre
et d’être persévérant, car la bibliothèque a complètement été restaurée et une
superbe exposition sur l’histoire de la médecine à Venise y est dorénavant ouverte
(entrée libre) au grand public. En prime, on a la possibilité de voir le magnifique
plafond tout doré, des œuvres de grands peintres vénitiens dans la grande
salle. Par ailleurs, dans la petite salle adjacente on retrouve des
reproductions des œuvres qui sont maintenant au musée de l’Accademia, dont entre autres :
La
Translation du corps de saint Marc (du Tintoretto). Si vous avez le cœur un peu trop sensible, ne regarder
que les plafonds et les murs avec les tableaux, ne regarder pas les vitrines
présentant toute une kyrielle d’instruments de médecine et de chirurgie à
travers les âges, qui se rapproche davantage à des instruments de torture que
de guérison. Quant à elles, les illustrations des livres de médecine et de
chirurgie sont très explicites et vous achèveront avant même que vous mettiez
vos fesses sur la table de consultation du médecin ou sur la table d’opération
du chirurgien. L’Autre a été impressionné par les objets exposés se rapportant
à la stérilisation, c’est sûrement une déformation professionnelle due à sa
deuxième carrière.
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Salle principale de la bibliothèque et de la Scuola. |
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Détail du plafond. |
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Beau coffre à outils !
Avez-vous un membre en trop ? |
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Non merci, pas pour moi ! |
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Saint-Marc bénissant les îles de la lagune de Venise (1570) Tableau de Domenico Tintoretto, (le fils de l'autre). |
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Avez-vous un chat pris dans la gorge ? |
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Visage recouvert de pustules, dues la variole. |
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Enfin je peux associer les signes du zodiaque et les différentes parties du corps. |
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Maladie des os. |
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Docteur, j'ai besoin d'une greffe de peau. |
Une autre journée, nous avons
décidé de faire une marche de reconnaissance pour voir de loin et de plus près
le futur appartement de la Comtesse et de moi-même à Venise. La seule condition
est de gagner au préalable le gros lot de la 6-49 ou de la Lotto Max
pour pouvoir payer la coquette somme de 8 000 000 €. Une vraie
aubaine pour un appartement avec terrasse (pleine largeur) au dernier étage
d’un immeuble directement sur le Grand canal. Je ne vous dis pas si
l’appartement a une chambre d’amis, car je suis certain que les demandes de
réservation vont abonder. Tout bon fouineur que nous sommes, nous nous sommes
laissés intriguer, attirer, détourner de notre mission première pour finalement
arriver devant la Scuola Grande di San Giovanni Evangelista (passablement loin de
« Notre » appartement, mais n’ayez crainte, nous finirons par y
arriver quand même). Par le passé, cette Scuola n’était ouverte au public que
lors de concerts (qui y sont régulièrement donnés), mais depuis l’été dernier,
il est dorénavant possible de la visiter (de même que son église adjacente) durant
le jour. Ce n’est pas la Scuola Grande di San Rocco (principal
écrin des œuvres du Tintoretto qui,
en très grande partie, a fait la renommée de cette Scuola), mais ce n’est pas
non plus un prix de consolation et loin de là. C’est fort probablement la
deuxième plus belle Scuola de Venise. La visiter, c’est comme découvrir un trésor
caché.
La bouffe
Pas grand-chose de neuf à dire,
car nous sommes retournés à nos classiques : Da Ignacio (un peu en
perte de vitesse, même si les coquilles Saint-Jacques sont toujours
délicieuses), Acqua Pazza (toujours un must), Rosa Rossa, Muro
Frari (un autre must). Cette fois nous ne sommes pas allés au Alle
Testiere (meilleur restaurant de poisson de Venise, mais ce n’est que
partie remise). Pour plus de commentaires sur ces restaurants, je vous invite à
aller consulter les autres pages sur Venise de mon blogue.
Et en guise de dessert, je vous laisse sur cette dernière citation. Je vous reviendrai sous peu pour
parler de La Valette et de Malte.
« L’Allemand
dit que je ne pouvais pas le comprendre : j’étais un enfant de Venise,
j’avais respiré Venise à chaque instant de ma vie. Tandis que lui devait la
séduire. Comme une femme aimée, elle exigeait une entière dévotion et une
infinie patience. »
Melania G. Mazzucco – La longue attente de l’ange.
Pour les amoureux de Venise
comme moi, je vous invite à aller consulter mes autres pages portant sur la
Sérénissime :
La comtesse prie Camilo et l'Autre de l'excuser de ce vilain mouvement d'humeur et de cet horrible écart de langage plus digne de son palefrenier que de sa noble personne. L'envie de quitter l'hiver éternel, sans doute, a fait germer la jalousie dans mon cœur lassé... Ah, heureux voyageurs... et heureuses bénéficiaires des largesses valisières de Flying Blue. Merci, merci et merci encore.
RépondreEffacerMerci aussi pour toutes les belles images et pour la visite extérieure de notre futur appartement. Il ne reste qu'un infime détail à régler: celui du prix. Continuons à prier à l'autel de Loto Québec. Avis aux amateurs/trices: il faudra être très très très gentils avant d'avoir même le droit de savoir s'il y a une chambre d'amis dans le palazzo de Camilo et de la contessa .
J'ai lu le texte et regardé les photos en écoutant quelques extraits de la bande sonore de La Grande Bellezza. Magnifique et hypnotique mais quelle surprise, en retournant sur Youtube, d'apercevoir Fanny Ardant qui disait "Voilà hhh" en italien.
Bon, j'arrête de délirer et je laisse le soin à d'autres de reprendre le clavier pour encenser nos voyageurs.
Mille baci,
la comtesse (bientôt contessa si la bonne fortune lui sourit ou devrais-je dire la buona fortuna?)
Post scriptum à mon commentaire d'hier:
RépondreEffacer- Joies prolongées et multipliées par les nouvelles photos.
- Les vieux disques étaient des 78 tours, pas des 75...
- L'erreur sur la photo du "félin", ce sont les faux cils du bas posés à l'envers et recourbés vers le haut.
Tu vois, cher Camilo, que je lis religieusement ton blogue puisqu'il m'offre les joies de l'étranger par voyageur interposé.
Ciao bello,
la comtesse
Bonjour chère Comtesse,
EffacerJ'ai bien pris note de la correction pour la vitesse du vieux disque... et je l'ai déjà changée. Pourtant, je savais bien que ceux-ci tournaient à 78 tours et non pas à 75. Je pense que c'est ma vitesse de réflexion et celle de mon disque dur de la mémoire qui commencent à tourner moins vite.
Par ailleurs, ta réponse pour l'erreur est bonne, mais ce n'est pas celle-là que recherche le Docteur !!... À toi de réessayer et nous revenir avec une autre suggestion.
Grandi baci,
Il tuo Camilo
Ben tabernouche, comme dirait mon palefrenier. Il dottore a écrit "chercher l'erreur" pas "les" erreurs. La seule autre anomalie que j'aie remarquée, ce sont les favoris apparents sous la perruque du côté gauche (celui de la chatte/matou). A part ça, je donne ma langue au chat... à condition qu'il soit Vénitien - n'en déplaise à mes petits Montréalais.
RépondreEffacerLa tua gatta
la contessa