Accompagnement musical
Je vous avais mentionné, dans la première page sur Lisbonne, que le fado
pouvait être rigolo. Peut-être n’avez-vous pas écouté suffisamment de morceaux
pour vous convaincre qu’António Zambujo
pouvait vous le prouver. Aussi, cliquez ici pour entendre un
fado plus loufoque.
Bonne écoute !
Lisbonne
Après Belém, L’Autre et moi pouvions-nous encore
aimer notre séjour dans la capitale portugaise ? Ce serait mal nous connaître
si vous pensez que quelques heures d’attente (même si frustrantes et évitables
!?!) nous décourageraient. Nous en avons vu d’autres !
Bon ! Qu’a-t-on
au menu pour la suite. N'ayez crainte, je ne vous relaterai pas tout le
voyage au jour le jour. Je vous le promets, je vais tout vous présenter de la
suite de notre escapade lisboète dans la présente page et une troisième (et
dernière) qui suivra sous peu. Je serai donc concis, ce qui fera plaisir à
certains de mes lecteurs(trices), qui trouvent que je suis un peu trop prolixe
dans mes propos. Cela me blesse un peu, moi qui croyais que vous aimiez lire mes
histoires (ou mieux, les aventures anecdotiques de L’Autre et moi) et non
pas seulement zieuter mes photos, car je (je l’ai déjà dit) ne me considère pas
comme un photographe, mais comme globe-trotter « bloguo-verbeux » avec un « certain regard » qui se sert de photos pour
illustrer ses propos. Je me résigne, car le lecteur a toujours raison… Aussi,
voici pêle-mêle un résumé de nos visites dans Lisbonne.
J’ai
toujours aimé les carreaux de faïence, les céramiques, les mosaïques, les
terres cuites vernissées, etc. Notre voyage à Séville,
de l’année dernière, aura su m’initier in
situ aux azulejos ibériques. Aussi, je ne pouvais pas aller à Lisbonne sans
y consacrer un bon moment pour admirer une des spécialités portugaises. Dans ce
contexte la visite du Musée national des
Azulejos était donc un incontournable… et quel plaisir d’y avoir passé
quelques heures ! Il a de quoi convertir tout athée des vertus du bleu et blanc
des azulejos... et pas uniquement !
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Carreaux hispano-mauresques importés de Séville
(XVe – XVIe s.) |
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Faïence polychrome
(1622–1674) |
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Faïence polychrome
(1622–1674) |
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Azulejos aux motifs à feuille d'acanthe
(1622–1674) |
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Panneau de faïence polychrome avec représentation religieuse
(1637–1692) |
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Faïence monochrome
(1622–1674) |
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Détail de la décoration de l'Igreja e Convento da Madre de Deus, site du Museu Nacional do Azulejo. |
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Coupole de l'église. |
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Vue de la nef et aperçu de la salle capitulaire (à l'étage). |
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Saint Marc L'Évangéliste –
Un des quatre médaillons représentant les Évangélistes par l'atelier des della Robbia
(1509 – 1517) |
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Fontaine dans le joli petit cloître manuélin. |
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Détail du cloître avec ces azulejos d'inspiration mudéjare aux motifs géométriques et floraux
(ajout du XVIIe s.) |
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Azulejos bleu et blanc de l'époque baroque
(XVIIIe s) |
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Azulejos polychromes
(XVIe – XVIIe s.) |
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Vue du cloître de l'étage. |
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Faïence polychrome
(XIXe s.) |
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Jésus parmi les docteurs
Panneau d'azulejos présentant une série de scènes de la vie du Christ. (Lisbonne, c.1760) |
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Surprenant ! |
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Œuvre contemporaine.
Quelle belle patine bleutée !
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Sculpture de Sofia Castro, 2012. |
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Boîte à fleurs
(1906) |
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Vase "Mocho"
João Machado da Costa
(Seconde moitié du XIXe s.) |
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Azulejos polychrome
(XIXe – XXe s.) |
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"Tête"
Jorge Barradas
(1894 – 1971) |
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Semaine Sainte oblige. |
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"Comptoir Suisse"
du Pavillon du Portugal à Lausanne (1957)
Querubim Lapa (1925 – ) |
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Scènes maritime et champêtre
(Seconde moitié du XVIIIe s.) |
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Jardin du musée – Un peu de nature (Amaryllis d'Afrique du Sud) pour se remettre de tant de faïence. |
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Les tortues étaient tellement immobiles...
que je croyais qu'elles étaient en céramique...
Il était vraiment temps de quitter le musée. |
Parc des Nations
Le
Parc des Nations (Parque das Nações),
site de l’exposition universelle de 1998 (Expo ’98), ayant pour
thème : Les océans, un patrimoine pour le futur. Exposition organisée
pour souligner les 500 ans de la découverte par Vasco de Gama de la route des
Indes par le contournement du Cap de Bonne-Espérance, en 1498 (et plus
largement toutes les grandes découvertes des navigateurs portugais).
Vasco
de Gama serait heureux de voir que la nation portugaise a voulu souligner son
grand mérite, mais il se retournerait dans sa tombe s’il voyait ce qu’est
devenu le site de l’exposition universelle 17 ans seulement après sa
création. Le développement du site, qui devait par la suite devenir le nouveau quartier
moderne de la ville de Lisbonne (une architecture futuriste [quelques immeubles
sont très beaux], dont l’aquarium, des espaces publics conviviaux et attractifs
pour les populations locales et les visiteurs, une ouverture « verte »
sur les berges du Tage, etc.) n’est que l’ombre de ce qu’il a été l’espace d’un
moment. Manque de planification ? Manque d’entretien ? Manque d’animation ? Manque
de fonds (la crise économique frappe de plein fouet le Portugal, comme l’ensemble
de la péninsule Ibérique) ? Il n’en demeure pas moins que la nature reprend ses
droits… et ensevelira toute trace de civilisation. Un exemple : La longue promenade le long du Tage, a été
aménagée en plantant des pins qui, avec le temps, ont poussé. Les racines
envahissantes ont complètement soulevé les dalles des allées de promenade à un
tel point qu’il est dangereux de s’y promener (attention aux entorses !). On croirait être dans une compétition de skateboard
(rouli-roulant) sur circuit extrême. J’ai préféré ne pas prendre de photos (on
aurait pu me traiter de « critiqueux »
et de défaitiste !?!). Je ne veux surtout pas lancer la pierre aux Lisboètes,
car ici aussi (à Montréal) nous avons connu la même chose avec le site de l’Expo 67 –
Terre des Hommes. Au demeurant, pas étonnant que les touristes, que l’on a attiré sur le site, déchantent et critiquent.
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Seule illustration... détail d'une fontaine...
Au moins celle-ci pouvait nous rafraîchir
par cette belle et chaude journée. |
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Source : MNAA. |
Le
MNAA est un des musées incontournables de Lisbonne. Il possède une remarquable
collection d’œuvres d’art (peintures, sculptures, arts décoratifs du XIIe
s. au début du XIXe s.) provenant en partie de la confiscation des
biens des couvents, au moment de la suppression des ordres religieux en 1833.
Mais ce qui m’a doublement attiré était la présence l’exposition
temporaire (et rarissime) de la collection de Franco Maria Ricci
(FMR), ce célèbre éditeur, graphiste, bibliophile et grand collectionneur
italien, qui a fondé, selon Jacqueline Kennedy, « la plus belle revue du monde » : la revue FMR (éphémère) et les éditions
Franco Maria Ricci (qui a entre autres publié les œuvres d’Umberto Eco).
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Source : MNAA. |
Il
y avait aussi une autre exposition temporaire : BLEU SUR OR, proposant une
infime partie de la collection de porcelaines du Palais de Santos (actuelle
ambassade de France au Portugal). Le palais conserve dans sa Salle des
Porcelaines (actuellement en restauration, d’où le prêt au musée pour l’exposition) – décorée entre
1664 et 1687 par D. José Luís de Lancastre – 263 assiettes de porcelaine exposées
au plafond et sur les murs. Il s’agit d’un ensemble représentatif de la
production de porcelaine de la dynastie Ming (1368-1644), des règnes des
empereurs Hongzi, Zhengde, Jiajing, Longqing et Wanli (XVIe s. et début
du XVIIe s.).
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MNAA – Putti en terre cuite vernissée. |
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São Miguel (Saint-Michel)
Bois polychrome
(Première moitié du XVIIIe s.) |
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Portrait d'un jeune chevalier
Inconnu (c. 1550) |
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São Vicente attaché à la colonne du martyre
de l'atelier de Nuno Gonçalves ( c. 1470)
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Déposition au tombeau
Tableau de Cristovão de Figueiredo (? – † 1543) |
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Ecce Homo
Maître inconnu (c. 1570) |
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Saint-Onuphre l'Anachorète (détail)
attribué à l'atelier de José de Almeida
(Première moitié du XVIIIe s.) |
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Ostensoir de Belém
Gil Vicente (1506) |
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Ostensoir de Belém (détail)
Gil Vicente (1506) |
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Chinoiserie ? |
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Bodhisattva – Maitreya en méditation
Bronze – Art japonais ou coréen |
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Cabinet sur pieds avec représentation de portugais
(XVIe – XVIIe s.) |
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Belle cruche. |
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Danaïde – Le Printemps (1893)
Auguste Rodin (1840 – † 1917) et son assistant Pierre |
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São Leonardo
Andrea della Robbia (1435 – † 1525)
Terre cuite vernissée polychrome (1501 – 1513)
Cette sculpture grandeur nature est encore plus intéressante et rarissime
que celle vue à la Cà d'Oro à Venise en février dernier. |
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Vierge à l'enfant avec Saint-Jean-Baptiste
de l'atelier d'Andrea della Robbia (XVe – XVIe s.)
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Retour du mariage (1501 – 1513)
Nicolas-Antoine Taunay (1755 – † 1830)
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Bacchus, Vénus et Cupidon (c. 1535 – 1539)
Rosso Fiorentino (1494 – † 1541)
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Les deux sœurs (c. 1770 – 1780)
Jean-Honoré Fragonard (1732 – † 1806) |
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La déposition au tombeau (c. 1765 – 1770) (détail)
Giambattista Tiepolo (1696 – † 1770)
Vivement Venise !
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Le Triomphe des Arts (c. 1730)
Giambattista Tiepolo (1696 – † 1770)
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La fuite en Égypte (c. 1767 – 1770) (détail)
Giambattista Tiepolo (1696 – † 1770)
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Petit clin d’œil pour mes chiens… sur fond d’une tapisserie des
Gobelins :
Gratior est in pulchro
corpore virtus – La grâce est un pouvoir équitable
Inspirée d’une peinture de Jean Restout (1739)
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L'Autre admirant la tapisserie...
pour que vous puissiez vous faire une meilleure idée de l'œuvre. |
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Les Philistins attaqués par
la peste à Ashdod (c. ?)
Copie ou école de Nicolas Poussin (1594 – † 1665)
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Joyeuse compagnie (c. 1663 – 1665)
Peter de Hooch (1629 – † 1684)
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Bouilloire avec support François-Thomas Germain (1748 – † 1791) |
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Triptyque de La Tentation de Saint-Antoine (1501)
Jérôme Bosch (c. 1450 – † 1516)
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Triptyque de La Tentation de Saint-Antoine (1501) (détail)
Jérôme Bosch (c. 1450 – † 1516)
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Salomé (1510 – 1515)
Lucas Cranach l'Ancien (c. 1472 – † 1553)
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Triptyque La vie du Christ ou La Descente de la croix (1540 – 1550)
Pieter Coecke van Aelst, ou Pieter Coeck d'Alost (1502 – † 1550)
Source : Wikimedia.org
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Panneaux extérieurs de La vie du Christ ou La Descente de la croix (1540 – 1550)
Pieter Coecke van Aelst, ou Pieter Coeck d'Alost (1502 – † 1550)
Source : Wikimedia.org
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J'ai tellement aimé que je vous montre quelques détails...
comme celui-ci où vous pouvez voir L'Autre qui se prend la tête pour savoir quand nous sortirons de cet enfer ?
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Donnez-moi ce glaive pour que je mette un terme à ses souffrances ! |
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Ce n'était pas encore fini !
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São Sebastião (Saint-Sébastien)
Maître inconnu (XVIIe s.) |
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Tour de Babel (c. 1600)
Joos de Momper le Jeune (c. 1564 – † 1635)
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La collection de Franco
Maria Ricci (FMR)
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Buste du Cardinal Paluzzo Paluzzi Alteieri degli Albertoni –
Marbre de Gian Lorenzo Bernini (1598 – † 1680) |
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Buste d'un gentilhomme –
Marbre de Lazzaro Casario (1546 – † 1592) |
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Buste d'un Évêque –
Artiste inconnu (Bois - XVIe s.)
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Buste du Pape Clément X (né Émilio Altieri) –
Marbre de Gian Lorenzo Bernini (1598 – † 1680) |
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Marie-Antoinette d'Espagne –
Cire polychrome, carton peint, tissu
Francesco Orso (1745 – † 1820)
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Victor-Amédée III de
Savoie –
Cire polychrome, carton peint, tissu
Francesco Orso (1745 – † 1820)
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Bustes en terre cuite de sculpteur(e)s à l'œuvre
à Paris au milieu du XVIIIe s.
De g. à d. :
Mlle Jeannette Nini – par Giovan
Battista Nini (1717 – † 1786)
Buste d'un gentilhomme – par Francesco
Orso (1745 – † 1820)
Buste d'une jeune femme – par Marie-Anne Collot (1748 – † 1821)
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Buste d'Arthur Wellesley, 1er Duc de Wellington–
Marbre de Francis Chantrey (1781 – † 1841)
Il y a une certaine ressemblance avec un de nos ministres... Lequel ? Un indice M. B.
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Buste d'une dame –
Marbre de Jean-Pierre Dantan, dit Dantan le Jeune (1800 – † 1869)
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Tête d'homme ou Tête de Benito Mussolini
Bronze de Giandante X (1900 – † 1984)
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C'est à peu près la tête que nous faisions après
avoir vu tant d'œuvres.
Promenades dans les différents
quartiers.
Inspiré
de la chanson de Félix Leclerc : « Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé », je pourrais
dire : les souliers de L’Autre et les miens ont beaucoup
marché par monts et par vaux, dans les quartiers de Lisbonne : Mouraria,
Alfama, Santa Apolonia, Graça, Baixa, Chiado, Bairro alto, Bica, Lapa, Rossio, Saldanha, Santa
Catarina, etc. Rien qu'à les énumérer, je sens déjà la crampe au mollet. Mais
comment faire autrement si l’on veut découvrir une ville et sentir sa
spécificité ? Être touriste peut parfois être du sport extrême, mais dans notre
cas, c’est une façon de nous garder en forme. Ne l’oubliez pas, L’Autre
et moi sommes des touristes professionnels !?!
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Santa Apolonia – Un petit air de printemps. |
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Santa Apolonia – Je ne suis pas dans un musée moi ! |
Santa Apolonia – Murmures du passé.
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Alcantara – Pour les amoureux des félins.
Street Art de C215 |
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Alcantara – L'acupuncture du Lonely Rider ! |
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Alcantara – L'amour maternel sous déconfitures |
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Alcantara – Dans le parc Tapada
das Necessidades. |
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Saldanha – Mélange de genres – Le Crono Project...
Des graffs de haute volée signés...
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Saldanha – Pantin de l'Anarchie ?
Détail des géants (du duo brésilien Os Gêmeos). |
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Saldanha – Le voleur sirotant le monde à la paille (de Blu). |
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Saldanha – Silhouette noire (Fantômas portugais ?) sur ciel d'étoiles (de SAM3). |
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Saldanha – Un crocodile "Godzillesque" se promène dans la ville (d'Ericailcane). |
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Saldanha – Les oiseaux (de Lucy McLauchlan). |
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Parque Eduardo VII – Je me ferai belle pour toi ce soir. |
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Parque Eduardo VII – J'ai déjà été beau. |
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Parque Eduardo VII – La Croix du Sud. |
Parque Eduardo VII – Un « Massacre de la Saint-Valentin » portugais ?
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Parque Eduardo VII – Maternidade (Maternité) (1999)
Œuvre de Fernando Botero (1932 – )
Cela m'a fait penser à celle que nous avons vue à Venise, lors de notre séjour carnavalesque de cette année. |
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Parque Eduardo VII – Petite pause pour faire le plein au café Linha D'Agua. |
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Parque Eduardo VII – Amaryllis d'Afrique du Sud dans l'Estufas fria (serre froide). |
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Parque Eduardo VII – Oiseau du Paradis. |
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Parque Eduardo VII – Agave Attenuata. |
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Avenida da Liberdade – Détail architectural Art Déco. |
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Avenida da Liberdade – En regardant par le trou de la serrure. |
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Avenida da Liberdade – Affiche annonçant une exposition d'éventails dans la Casa-Museu Medeiros e Almeida.
Comme il était fermé, lors de notre premier passage, nous voulions y revenir pour vérifier si nous ne trouverions pas,
à la boutique, un étui à éventail pour l'offrir à la Comtesse.
À notre seconde visite, L’Autre a décidé de m’inviter… et j’ai
été conquis par ce musée.
C'est à mon avis l’un des plus beaux musées de
Lisbonne... Une vraie perle rare.
L'un des plus beaux musées privés que j'ai visité de ma vie.
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Rossio – Intérieur de l'Igreja de São Domingo
Historiquement haut-lieu de l'Inquisition et église phénix, suite à un incendie en 1959.
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Rossio – Intérieur de l'Igreja de São Domingo
Camaïeu de gris sous voûte en berceau de béton rose.
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Rossio – Intérieur de l'Igreja de São Domingo
La foi, même clairsemée, sera la plus forte. |
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Rossio – Un air de déjà vu ! |
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Mouraria – « Mouraria, berceau du fado » |
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Mouraria – L'Itinéraire que tout aficionado du fado devrait suivre. |
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Mouraria – Exhibitionnisme graphique !?! |
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Mouraria – Portes. |
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Mouraria – Pendentifs extramuraux. |
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Mouraria – Le lanceur élancé. |
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Mouravia – Un témoignage vivant. |
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Mouravia – Dona Antonia. |
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Mouravia – Dona Margarida. |
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Mouravia – Isabel e Antonio. |
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Mouravia – Isabel e Antonio. Nous les avons croisés. |
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Mouravia – Une petite pause. |
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Mouravia – Dona Prazeres e Dona Xica. |
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Mouravia – La boutique aujourd'hui. |
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Mouravia – Isabel e Antonio au square. |
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Mouravia – Tout n'est pas que calme et sérénité.
Début d'un portfolio de graffs, de tags, de Street Art. |
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Mouravia – Porte street artisée. |
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Mouravia – Fado vagabond. |
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Mouravia – Il y a de quoi pleurer. |
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Mouravia – Saint-Christ ? Ou Saint-Christo ? |
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Mouravia – Chien mort ?!? |
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Mouravia – Évanescence ?... Émanations ?... ou effervescence ? |
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Mouravia – Il y en a vraiment de toutes les couleurs. |
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Mouravia – Je porte le monde sur mes épaules. |
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Mouravia – La prisonnière. |
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Mouravia – La photo qui s'étend ! |
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Mouravia – Ouf ! une belle patine pour se reposer les yeux. |
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Mouravia – Porte verte No 1. |
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Mouravia – Porte verte No 1 (détail). |
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Mouravia – Il y a un Alien qui habite au No 9. |
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Mouravia – Tranche de vie.
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Mouravia – Patine murale. |
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Mouravia – Délire éthylique ? |
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Mouravia – Est-ce La Môme qui fait du fado ? |
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Mouravia – « Guerre à ce monde » |
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Mouravia – « No Photo ! » |
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Bairro Alto – Partie de Tic-Tac-Toe ? |
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Bairro Alto – Oiseau rare ou oiseau de nuit ? |
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Bairro Alto – Ciel ! qu'il a besoin d'une coupe de cheveux. |
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Bairro Alto – Camilo Mondo qui se fait faire une belle coupe à 23 H 30.
Il se couchera la tête plus légère. |
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Bairro Alto – Encore une montée ! |
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Bairro Alto – Belle récupération ! J'aime beaucoup. |
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Bairro Alto – Elevador da Gloria. |
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Bairro Alto – Le Street art qui illumine la nuit. |
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Bairro Alto – Lisbonne ville ouverte. |
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Bairro Alto – Il est temps de rentrer à l'hôtel. |
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Bairro Alto – Lisbonne By Night, vue du miradouro (belvédère) de São Pedro de Alcântara. |
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Mon cœur se brise parce que c'est la fin de nos promenades...
du moins pour l'instant. |
À tant marcher, cela donne faim
Il
faut du carburant pour parcourir tous ces kilomètres. Étant à Lisbonne, il
fallait bien manger de la sardine. Eh bien, non ! Pas de sardines au menu, mais beaucoup
de morue (bacalhau), morue fraîche,
morue salée, morue frite, morue vapeur, morue en hamburger, en risotto, en
salade, etc. Pas besoin d’ajouter que j’aime la morue. Mais il n’y avait pas
que de la morue au menu et L’Autre a su trouver de quoi se
sustenter. Il ne faut pas aussi oublier les savoureuses pâtisseries
portugaises. Le nec plus ultra de notre expérience culinaire lisboète aura été
notre repas gastronomique au 100 Maneiras (100 manières), dans le quartier Bairro Alta (ils ont aussi un second établissement,
le bistro, formule plus simple et plus animée). Pas de menu, seulement une
formule « dégustation », accompagnée de la formule vins simple. Nous
avons été plus qu’heureux de pouvoir en profiter, car nous n’avions pas de
réservation et nous avons été les seuls chanceux à être acceptés. Bravo pour
notre chance ! Bravo pour notre panse !
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Pour nous faire patienter :
Chips de morue salée |
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Mise en bouche |
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Première entrée |
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Deuxième entrée |
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Plat de poisson |
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Un trou normand surprenant |
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Plat de viande |
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Premier dessert |
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Deuxième dessert |
Un
autre lieu de boustifaille incontournable de Lisbonne est le mercado
da Ribeira (dans Santa Catarina), avec sa foire alimentaire très trendy. Difficile de faire son choix,
tant il y de propositions toutes aussi savoureuses les unes que les autres. C’est
La place pour l’heure de l’apéro… et pas
uniquement.
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Atmosphère branchée. |
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Deux excellents vins portugais. |
Notre dernier repas au restaurant Le Jardin.
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L'entrée fait chic, mais le resto se trouve dans une cour intérieure couverte
très sympa et décontractée. |
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Mon entrée de pieuvre... un pur délice ! |
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L'entrée de L'Autre... salade d'endives et betteraves. |
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Mon plat principal... morue à la Suisse ?!?
On aurait dit des rösti... Délicieux !
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Le plat de L'Autre... des pâtes au pesto
à faire baver d'envie les Italiens. |
Encore de la place pour davantage de saveurs de Lisbonne ?
La suite suivra bientôt !
Merci Camil de me faire voyager avant le petit déjeuner ! Ça commence bien ma journée !
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