Je suis l’arroseur arrosé ! Il est toujours
plus facile de critiquer que de faire, de produire quelque chose. J’aurais dû
tourner ma langue (ou relire mon texte) sept fois avant de vilipender le menu
du resto du MBAM. On voit la paille dans l’œil de son voisin, mais pas
la poutre dans le sien… et quelle poutre !! Des fautes en voulez-vous ? En
voici jusqu’à plus faim. Il y avait plus de fautes d’orthographe dans les deux
premiers paragraphes de mon dernier texte que dans le menu du resto du MBAM (toutes
langues confondues).
C'est ma
faute
C'est ma
faute
C'est ma
très grande faute d'orthographe
Voilà comment j'écris
Giraffe.
Histoires
(1946), Mea culpa – Citations de
Jacques Prévert.
Que puis-je dire à ma décharge ? À vrai dire, il n’y a pas d’excuses
qui tiennent, mais peut-être trois causes atténuantes : le bon vin, la
fatigue et l’âge. Dans le cas du bon vin, celui-ci m’aide à rendre ce moment d’écriture
plus agréable. Dans le cas de la fatigue, j’écris souvent mes textes en fin de journée et parfois tard en soirée. Et finalement, dans le cas de l’âge, je
pense souvent que je ne sais plus écrire, que je ne me souviens plus des règles
de grammaire, de conjugaison, d’orthographe, Etc. Ah, la mémoire ! Pour celles
ou ceux qui lisent mes textes, dès leurs parutions (car elles/ils reçoivent un
courriel dès la mise en onde de ceux-ci) vous voyez très bien l’impact que ces
trois facteurs, une fois combinés, peuvent produire comme horreurs. Mais j’essaie
de corriger le tir, par des mises à jour correctives. Des fois, cela prend
quelques relectures et quelques jours avant d’arriver à un texte potable, avec
le moins de fautes possibles. Aussi, s’il-vous-plaît, soyez indulgent(e)s. Et
je vous promets de faire plus attention. Et pour m’aider, je redécouvre d’anciens
amis qui sauront, je l’espère, m’aider dans mes récits épistolaires…
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Source : Bescherelle.com |
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Source : Bescherelle.com |
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Page couverture du catalogue du MBAM. |
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Source : Wikipedia. |
Par ailleurs, je
viens tout juste de terminer la lecture du catalogue de l’exposition Splendore
a Venezia – Arts et Musique de la
Renaissance au Baroque dans la Sérénissime. Une lecture très intéressante et
instructive. Je suis très content de l’avoir lu avant d’aller visiter l’exposition.
C’est un catalogue de prestige qui doit rendre Madame Nathalie Bondil, Directrice et conservatrice en chef du MBAM, très
fière. Mais dans le cas de Mesdames Linda
Greenberg et Alexandra MacDougall,
coprésidentes de l’Association des bénévoles du MBAM, je pense que leur plaisir
doit être mitigé, voire voilé, comme si Mr
Norrell – le vilain magicien de Johathan Strange & Mr Norrell, du roman de Suzanna Clarke (2004), un Harry
Potter pour adulte, que j’ai bien aimé et qui, d’après mon amie Linda, devrait
être porté à l’écran sous peu, mais après vérification, le projet de film est
tombé dans la mare, cependant la BBC est à compléter une mini-série en 7 épisodes
– avec une adaptation de Peter Harness
(la série Wallander de la BBC) et une réalisation de Toby Haynes (Wallander et le 3e
et dernier épisode de la 2e saison de Sherlock) – , qui devrait
être diffusée en 2014 – je me meurs déjà
d’envie – leur avait lancé un
sort et, comme la ville de Venise, le MBAM s’était vu assombri par un voile de ténèbres.
Mais pourquoi un tel cataclysme ? Vous allez voir, il y a un lien direct avec l’objet
de mon présent texte.
En effet je fais des
fautes, c’est indéniable, mais je n’ai pas une équipe d’au moins 15 personnes
pour produire mon blogue, comme c’est le cas du MBAM, pour la production d’un
catalogue d’une exposition… et je ne compte même pas tous les autres
collaborateurs. Mais si j’étais les coprésidentes de l’Association des bénévoles
du MBAM, je m’enfuirais aux Galápagos pour ne pas être vu. Sinon, comme
celles-ci n’écrivent probablement pas en français, je ferais fouetter les traducteurs
et lyncherais en public la personne qui a fait la correction d’épreuve (par
délicatesse, je ne donnerai pas de noms). Mais que s’est-il passé pour tant d’émoi
?
Je vous l’ai dit, j’ai
aimé lire le catalogue de l’exposition sur la musique à Venise, mais quelle ne
fut pas ma stupeur de lire le mot de bienvenue des coprésidentes. Deux belles
grosses fautes, pas d'orthographe, mais d'un manque de relecture...
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Source : Page 7 du catalogue Splendore a Venezia du MBAM. |
Les avez-vous repérées ? C’est dans la première phrase : L’exposition
Splendore a Venezia - Art et Musique de la Renaissance au
Baroque dans la Sérénissime est la première à explorer l’interacton (on n’a pas eu à mettre le point sur le 2e
« i », car absent) entre l’art
et la musique à Venise, du début du XVIe siècle jusqu’à la bute de la Sérénissime (est-ce qu’il y a une bute dans la Sérénissime ?, je ne crois pas, mais celle-ci a bien connu la chute de son règne) à la fin du XVIIIe
siècle – de Titien à Canaletto, de Willaert à Vivaldi.
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Source : Détail de la page 7 du catalogue Splendore a Venezia du MBAM. |
C’était un mea-culpa expiatoire,
car aucun vin n’a été nécessaire pour écrire le présent texte.
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Détail de la page couverture du catalogue du MBAM. |
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