On se rattrape, on se rattrape... Puisque la rédaction de mon récit a été décalée de deux jours faute d’Internet,
voici rapidement les aventures de la journée d’hier.
La seconde nuit dans la tente, disons luxueuse quand même, fût
particulièrement bruyante. En effet, le vent durant la nuit a décidé de nous
chanter une myriade de sifflements à travers les quelques ouvertures de
fenêtres… Au lever du jour, quelle ne fût pas notre surprise de constater qu’au
loin, les montagnes et dunes avait disparues derrière cette espèce de nuage difforme.
Notre Lodge dans la tempête. |
Ah oui, c’était bien cela… une tempête de sable en direction de notre
campement… Nous avons appris au déjeuner que toutes les excursions de la journée
avaient été annulées. Imaginez les pauvres touristes qui se sont fait lever
à 5 h 30 du matin, embarquer dans la
camionnette à 6 h 30 et après 30 minutes de route ont dû rebrousser chemin…
Quelle frustration pour eux !
Tout comme pour les commodités quotidiennes, c’est là que nous avons
réalisé toute notre chance de la veille d’avoir pu bénéficier de nos
excursions.
La crevaison réparée, les nombreux bagages embarqués, nous sommes
partis cette fois-ci à l’assaut de cette tempête de sable fort heureusement
bien équipés comme en témoigne l'image suivante.
L'Autre (le Touareg avec son chèche) toujours prêt face à l'adversité. |
On se protège comme on peut de la tempête. |
Une fois la tempête passée, la route fût particulièrement longue, et
sans grand intérêt mis à part cette halte dans le village qui se nomme Solitaire
dont la population est de 92 habitants.
Le Bagdad Café... |
... version namibienne. |
Par la suite, pour 220 km, nous n’avons croisé aucune végétation ni faune, ni oiseaux. Rien ! Nada ! Comme si la tempête avait tout balayé…
Portique du No Man's Land désertique. |
Apéro rosé ! |
Nous sommes finalement arrivés à Walvis Bay et à Swakopmund, où en fin de
journée, nous avons savouré notre apéro sur notre terrasse face à la mer en
compagnie de quelques flamands roses recroquevillés sur la plage. Même ici, l’hôtel
est vide, nous sommes les seuls clients. Seuls les fantômes d’Angelina Joly et
Brad Pitt hantent encore les corridors de leur dernière visite en 2006.
L'Autre - Ah ! La joie de se réveiller dans un environnement à 18 degrés et de prendre une douche matinale à eau chaude constante, quel bonheur !!!
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RépondreEffacerComment ça mon premier commentaire a été supprimé ?? Il était question du style unique de l'autre et de la joie de vous retrouver...
RépondreEffacerJe ne suis pas trop susceptible et j'en conclu à un problème technique...
Sans rancune !
Linda XX
Mille excuses pour le commentaire supprimé... c'est entièrement de ma faute, mon doigt a été plus vite que la tête (dans mon cas ce n'est pas très difficile) et il était trop tard, oups ! disparu ! J'ai tenté de corriger ma bévue, mais impossible de revenir en arrière !?!
EffacerGros bisou pour me faire pardonner,
Camil
C'est SUPER, l'« autre » a une longueur d'avance sur toi puisqu'il a déjà une partie de son costume pour le carnaval de Venise!!! Plus besoin de masque vénitien, les lunettes de ski font très bien la job !!!
RépondreEffacerJoanne