lundi 11 mai 2015

Lisbonne II – 2 au 7 avril 2015




Accompagnement musical


Je vous avais mentionné, dans la première page sur Lisbonne, que le fado pouvait être rigolo. Peut-être n’avez-vous pas écouté suffisamment de morceaux pour vous convaincre qu’António Zambujo pouvait vous le prouver. Aussi, cliquez ici pour entendre un fado plus loufoque.

Bonne écoute !


Lisbonne


Après Belém, L’Autre et moi pouvions-nous encore aimer notre séjour dans la capitale portugaise ? Ce serait mal nous connaître si vous pensez que quelques heures d’attente (même si frustrantes et évitables !?!) nous décourageraient. Nous en avons vu d’autres !

Bon ! Qu’a-t-on au menu pour la suite. N'ayez crainte, je ne vous relaterai pas tout le voyage au jour le jour. Je vous le promets, je vais tout vous présenter de la suite de notre escapade lisboète dans la présente page et une troisième (et dernière) qui suivra sous peu. Je serai donc concis, ce qui fera plaisir à certains de mes lecteurs(trices), qui trouvent que je suis un peu trop prolixe dans mes propos. Cela me blesse un peu, moi qui croyais que vous aimiez lire mes histoires (ou mieux, les aventures anecdotiques de L’Autre et moi) et non pas seulement zieuter mes photos, car je (je l’ai déjà dit) ne me considère pas comme un photographe, mais comme globe-trotter « bloguo-verbeux » avec un « certain regard » qui se sert de photos pour illustrer ses propos. Je me résigne, car le lecteur a toujours raison… Aussi, voici pêle-mêle un résumé de nos visites dans Lisbonne.



Museu nacional do Azulejos


J’ai toujours aimé les carreaux de faïence, les céramiques, les mosaïques, les terres cuites vernissées, etc. Notre voyage à Séville, de l’année dernière, aura su m’initier in situ aux azulejos ibériques. Aussi, je ne pouvais pas aller à Lisbonne sans y consacrer un bon moment pour admirer une des spécialités portugaises. Dans ce contexte la visite du Musée national des Azulejos était donc un incontournable… et quel plaisir d’y avoir passé quelques heures ! Il a de quoi convertir tout athée des vertus du bleu et blanc des azulejos... et pas uniquement !

Carreaux hispano-mauresques importés de Séville
(XVe XVIe s.)

Faïence polychrome
(16221674)

Faïence polychrome
(16221674)

Azulejos aux motifs à feuille d'acanthe
(16221674)

Panneau de faïence polychrome avec représentation religieuse
(16371692)

Faïence monochrome
(16221674)




Détail de la décoration de l'Igreja e Convento da Madre de Deus, site du Museu Nacional do Azulejo.


Coupole de l'église.

Vue de la nef et aperçu de la salle capitulaire (à l'étage).


Saint Marc L'Évangéliste 
Un des quatre médaillons représentant les Évangélistes par l'atelier des della Robbia
(1509 – 1517)



Fontaine dans le joli petit cloître manuélin.


Détail du cloître avec ces azulejos d'inspiration mudéjare aux motifs géométriques et floraux
(ajout du XVIIe s.)


Azulejos bleu et blanc de l'époque baroque
(XVIIIe s)


Azulejos polychromes
(XVIe  XVIIe s.)

Vue du cloître de l'étage.

Faïence polychrome
(XIXe s.)


Jésus parmi les docteurs
Panneau d'azulejos présentant une série de scènes de la vie du Christ. (Lisbonne, c.1760)

Surprenant !


Œuvre contemporaine.
Quelle belle patine bleutée !

Sculpture de Sofia Castro, 2012.

Boîte à fleurs
(1906)



Vase "Mocho"
João Machado da Costa
(Seconde moitié du XIXe s.)

Azulejos polychrome
(XIXe  XXe s.)


"Tête"
Jorge Barradas
(1894  1971)

Semaine Sainte oblige.


"Comptoir Suisse"
du Pavillon du Portugal à Lausanne (1957)
Querubim Lapa (1925  )

Scènes maritime et champêtre
(Seconde moitié du XVIIIe s.)


Jardin du musée  Un peu de nature (Amaryllis d'Afrique du Sud) pour se remettre de tant de faïence. 

Les tortues étaient tellement immobiles...
que je croyais qu'elles étaient en céramique...
Il était vraiment  temps de quitter le musée.

Parc des Nations


Le Parc des Nations (Parque das Nações), site de l’exposition universelle de 1998 (Expo ’98), ayant pour thème : Les océans, un patrimoine pour le futur. Exposition organisée pour souligner les 500 ans de la découverte par Vasco de Gama de la route des Indes par le contournement du Cap de Bonne-Espérance, en 1498 (et plus largement toutes les grandes découvertes des navigateurs portugais).

Vasco de Gama serait heureux de voir que la nation portugaise a voulu souligner son grand mérite, mais il se retournerait dans sa tombe s’il voyait ce qu’est devenu le site de l’exposition universelle 17 ans seulement après sa création. Le développement du site, qui devait par la suite devenir le nouveau quartier moderne de la ville de Lisbonne (une architecture futuriste [quelques immeubles sont très beaux], dont l’aquarium, des espaces publics conviviaux et attractifs pour les populations locales et les visiteurs, une ouverture « verte » sur les berges du Tage, etc.) n’est que l’ombre de ce qu’il a été l’espace d’un moment. Manque de planification ? Manque d’entretien ? Manque d’animation ? Manque de fonds (la crise économique frappe de plein fouet le Portugal, comme l’ensemble de la péninsule Ibérique) ? Il n’en demeure pas moins que la nature reprend ses droits… et ensevelira toute trace de civilisation. Un exemple : La longue promenade le long du Tage, a été aménagée en plantant des pins qui, avec le temps, ont poussé. Les racines envahissantes ont complètement soulevé les dalles des allées de promenade à un tel point qu’il est dangereux de s’y promener (attention aux entorses !). On croirait être dans une compétition de skateboard (rouli-roulant) sur circuit extrême. J’ai préféré ne pas prendre de photos (on aurait pu me traiter de « critiqueux » et de défaitiste !?!). Je ne veux surtout pas lancer la pierre aux Lisboètes, car ici aussi (à Montréal) nous avons connu la même chose avec le site de l’Expo 67 – Terre des Hommes. Au demeurant, pas étonnant que les touristes, que l’on a attiré sur le site, déchantent et critiquent.

Seule illustration... détail d'une fontaine...
Au moins celle-ci pouvait nous rafraîchir
par cette belle et chaude journée.




Musée national d’Art ancien (Museu nacional de Arte Antiga), MNAA




Source : MNAA.
Le MNAA est un des musées incontournables de Lisbonne. Il possède une remarquable collection d’œuvres d’art (peintures, sculptures, arts décoratifs du XIIe s. au début du XIXe s.) provenant en partie de la confiscation des biens des couvents, au moment de la suppression des ordres religieux en 1833. Mais ce qui m’a doublement attiré était la présence l’exposition temporaire (et rarissime) de la collection de Franco Maria Ricci (FMR), ce célèbre éditeur, graphiste, bibliophile et grand collectionneur italien, qui a fondé, selon Jacqueline Kennedy, « la plus belle revue du monde » : la revue FMR (éphémère) et les éditions Franco Maria Ricci (qui a entre autres publié les œuvres d’Umberto Eco).

Source : MNAA.
Il y avait aussi une autre exposition temporaire : BLEU SUR OR, proposant une infime partie de la collection de porcelaines du Palais de Santos (actuelle ambassade de France au Portugal). Le palais conserve dans sa Salle des Porcelaines (actuellement en restauration, d’où le prêt au musée pour l’exposition)  décorée entre 1664 et 1687 par D. José Luís de Lancastre  263 assiettes de porcelaine exposées au plafond et sur les murs. Il s’agit d’un ensemble représentatif de la production de porcelaine de la dynastie Ming (1368-1644), des règnes des empereurs Hongzi, Zhengde, Jiajing, Longqing et Wanli (XVIe s. et début du XVIIe s.).

MNAA  Putti en terre cuite vernissée.


São Miguel (Saint-Michel)
Bois polychrome
(Première moitié du XVIIIe s.)


Portrait d'un jeune chevalier
Inconnu (c. 1550)


São Vicente attaché à la colonne du martyre
de l'atelier de Nuno Gonçalves ( c. 1470)



Déposition au tombeau
Tableau de Cristovão de Figueiredo (?  † 1543)

Ecce Homo
Maître inconnu (c. 1570)

Saint-Onuphre l'Anachorète (détail)
attribué à l'atelier de José de Almeida
(Première moitié du XVIIIe s.)




Ostensoir de Belém
Gil Vicente (1506)

Ostensoir de Belém (détail)
Gil Vicente (1506)



Chinoiserie ?

Bodhisattva  Maitreya en méditation
Bronze  Art japonais ou coréen




Cabinet sur pieds avec représentation de portugais
(XVIe  XVIIe s.)

Belle cruche.

Danaïde  Le Printemps (1893)
Auguste Rodin (1840  † 1917) et son assistant Pierre

São Leonardo
Andrea della Robbia (1435  † 1525)
Terre cuite vernissée polychrome (1501  1513)


Cette sculpture grandeur nature est encore plus intéressante et rarissime

que celle vue à la Cà d'Oro à Venise en février dernier.

Vierge à l'enfant avec Saint-Jean-Baptiste
de l'atelier d'Andrea della Robbia (XVe  XVIe s.)

Retour du mariage (1501  1513)

Nicolas-Antoine Taunay (1755  † 1830)


Bacchus, Vénus et Cupidon (c. 1535  1539)
Rosso Fiorentino (1494  † 1541)

Les deux sœurs (c. 1770  1780)
Jean-Honoré Fragonard (1732  † 1806)


La déposition au tombeau (c. 1765  1770) (détail)
Giambattista Tiepolo (1696  † 1770)
Vivement Venise !

Le Triomphe des Arts (c. 1730)
Giambattista Tiepolo (1696  † 1770)



La fuite en Égypte (c. 1767  1770) (détail)
Giambattista Tiepolo (1696  † 1770)

Petit clin d’œil pour mes chiens… sur fond d’une tapisserie des Gobelins :
Gratior est in pulchro corpore virtus  La grâce est un pouvoir équitable
Inspirée d’une peinture de Jean Restout (1739)

L'Autre admirant la tapisserie...
pour que vous puissiez vous faire une meilleure idée de l'œuvre.

Les Philistins  attaqués par la peste à Ashdod (c. ?)
Copie ou école de Nicolas Poussin (1594  † 1665)

Joyeuse compagnie (c. 1663  1665)
Peter de Hooch (1629  † 1684)

Bouilloire avec support
François-Thomas Germain (1748 
 1791) 

Triptyque de La Tentation de Saint-Antoine (1501)
Jérôme Bosch (c. 1450  † 1516)



Triptyque de La Tentation de Saint-Antoine (1501) (détail)
Jérôme Bosch (c. 1450  † 1516)




Salomé (1510  1515)
Lucas Cranach l'Ancien (c. 1472  † 1553)



Triptyque La vie du Christ ou La Descente de la croix (1540  1550)
Pieter Coecke van Aelst, ou Pieter Coeck d'Alost (1502  † 1550)
Source : Wikimedia.org

Panneaux extérieurs de La vie du Christ ou La Descente de la croix (1540  1550)
Pieter Coecke van Aelst, ou Pieter Coeck d'Alost (1502  † 1550)
Source : Wikimedia.org



J'ai tellement aimé que je vous montre quelques détails...
comme celui-ci où vous pouvez voir L'Autre qui se prend la tête pour savoir quand nous sortirons de cet enfer ?



Donnez-moi ce glaive pour que je mette un terme à ses souffrances !




Ce n'était pas encore fini !

São Sebastiã(Saint-Sébastien)
Maître inconnu (XVIIe s.)

Tour de Babel (c. 1600)
Joos de Momper le Jeune (c. 1564  † 1635)


La collection de Franco Maria Ricci (FMR)


Buste du Cardinal Paluzzo Paluzzi Alteieri degli Albertoni
Marbre de Gian Lorenzo Bernini (1598  † 1680

Buste d'un gentilhomme – 
Marbre de Lazzaro Casario (1546  † 1592

Buste d'un Évêque – 
Artiste inconnu (Bois - XVIe s.

Buste du Pape Clément X (né Émilio Altieri) 
Marbre de Gian Lorenzo Bernini (1598  † 1680


Marie-Antoinette d'Espagne 
Cire polychrome, carton peint, tissu
Francesco Orso (1745  † 1820)
Victor-Amédée III de Savoie 
Cire polychrome, carton peint, tissu
Francesco Orso (1745  † 1820) 


Bustes en terre cuite de sculpteur(e)s à l'œuvre à Paris au milieu du XVIIIe s.
 De g. à d. :
Mlle Jeannette Nini – par Giovan Battista Nini (1717  † 1786)
Buste d'un gentilhomme – par Francesco Orso (1745 – † 1820)
Buste d'une jeune femme – par Marie-Anne Collot (1748  † 1821)

Buste d'Arthur Wellesley, 1er Duc de Wellington
Marbre de Francis Chantrey (1781  † 1841)
Il y a une certaine ressemblance avec un de nos ministres... Lequel ? Un indice M. B.   

Buste d'une dame 
Marbre de Jean-Pierre Dantan, dit Dantan le Jeune  (1800  † 1869)

 Tête d'homme ou Tête de Benito Mussolini
Bronze de Giandante X  (1900  † 1984)

C'est à peu près la tête que nous faisions après avoir vu tant d'œuvres.


Promenades dans les différents quartiers.


Inspiré de la chanson de Félix Leclerc : « Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé », je pourrais dire : les souliers de L’Autre et les miens ont beaucoup marché par monts et par vaux, dans les quartiers de Lisbonne : Mouraria, Alfama, Santa Apolonia, Graça, Baixa, Chiado, Bairro alto, Bica, Lapa, Rossio, Saldanha, Santa Catarina, etc. Rien qu'à les énumérer, je sens déjà la crampe au mollet. Mais comment faire autrement si l’on veut découvrir une ville et sentir sa spécificité ? Être touriste peut parfois être du sport extrême, mais dans notre cas, c’est une façon de nous garder en forme. Ne l’oubliez pas, L’Autre et moi sommes des touristes professionnels !?!

Santa Apolonia  Un petit air de printemps.



Santa Apolonia  Je ne suis pas dans un musée moi !



Santa Apolonia  Murmures du passé. 


Alcantara  Pour les amoureux des félins.
Street Art de C215




Alcantara  L'acupuncture du Lonely Rider !




Alcantara  L'amour maternel sous déconfitures




Alcantara  Dans le parc Tapada das Necessidades.




Saldanha  Mélange de genres  Le Crono Project...
Des graffs de haute volée signés...

Saldanha  Pantin de l'Anarchie ?
Détail des géants (du duo brésilien Os Gêmeos).



Saldanha  Le voleur sirotant le monde à la paille (de Blu).


Saldanha  Silhouette noire (Fantômas portugais ?) sur ciel d'étoiles (de SAM3).



Saldanha  Un crocodile "Godzillesque" se promène dans la ville (d'Ericailcane).


Saldanha  Les oiseaux (de Lucy McLauchlan).




Parque Eduardo VII  Je me ferai belle pour toi ce soir.



Parque Eduardo VII  J'ai déjà été beau.



Parque Eduardo VII  La Croix du Sud.



Parque Eduardo VII  Un « Massacre de la Saint-Valentin » portugais ?


Parque Eduardo VII  Maternidade (Maternité) (1999)
Œuvre de Fernando Botero (1932  )
Cela m'a fait penser à celle que nous avons vue à Venise, lors de notre séjour carnavalesque de cette année.



Parque Eduardo VII  Petite pause pour faire le plein au café Linha D'Agua.


Parque Eduardo VII  Amaryllis d'Afrique du Sud dans l'Estufas fria (serre froide). 



Parque Eduardo VII  Oiseau du Paradis.



Parque Eduardo VII  Agave Attenuata.



Avenida da Liberdade  Détail architectural Art Déco. 



Avenida da Liberdade  En regardant par le trou de la serrure. 

Avenida da Liberdade – Affiche annonçant une exposition d'éventails dans la Casa-Museu Medeiros e Almeida.
Comme il était fermé, lors de notre premier passage, nous voulions y revenir pour vérifier si nous ne trouverions pas,
à la boutique, un étui à éventail pour l'offrir à la Comtesse.
À notre seconde visite, L’Autre a décidé de m’inviter… et j’ai été conquis par ce musée.
C'est à mon avis l’un des plus beaux musées de Lisbonne... Une vraie perle rare.
L'un des plus beaux musées privés que j'ai visité de ma vie.




Rossio Intérieur de l'Igreja de São Domingo
Historiquement haut-lieu de l'Inquisition et église phénix, suite à un incendie en 1959.


Rossio – Intérieur de l'Igreja de São Domingo
Camaïeu de gris sous voûte en berceau de béton rose. 

Rossio – Intérieur de l'Igreja de São Domingo
La foi, même clairsemée, sera la plus forte.


Rossio – Un air de déjà vu ! 

Mouraria – « Mouraria, berceau du fado »

Mouraria – L'Itinéraire que tout aficionado du fado devrait suivre. 

Mouraria – Exhibitionnisme graphique !?!

Mouraria Portes.


Mouraria Pendentifs extramuraux.

Mouraria – Le lanceur élancé. 


Mouravia Un témoignage vivant.

Mouravia – Dona Antonia.
Mouravia – Dona Margarida.
Mouravia – Isabel e Antonio.

Mouravia – Isabel e Antonio.
Nous les avons croisés.





Mouravia – Une petite pause.

Mouravia – Dona Prazeres e Dona Xica.
Mouravia – La boutique aujourd'hui.
Mouravia – Isabel e Antonio au square.


Mouravia – Tout n'est pas que calme et sérénité.
Début d'un portfolio de graffs, de tags, de Street Art.

Mouravia – Porte street artisée.

Mouravia – Fado vagabond.


Mouravia – Il y a de quoi pleurer.

Mouravia – Saint-Christ ? Ou Saint-Christo ?


Mouravia – Chien mort ?!?



Mouravia Évanescence ?... Émanations ?... ou effervescence ?


Mouravia – Il y en a vraiment de toutes les couleurs.

Mouravia – Je porte le monde sur mes épaules.


Mouravia – La prisonnière.

Mouravia – La photo qui s'étend !

Mouravia – Ouf ! une belle patine pour se reposer les yeux.


Mouravia – Porte verte N1.


Mouravia – Porte verte N1 (détail).


Mouravia – Il y a un Alien qui habite au N9. 

Mouravia – Tranche de vie.

Mouravia – Patine murale.


Mouravia – Délire éthylique ?


Mouravia – Est-ce La Môme qui fait du fado ?


Mouravia  « Guerre à ce monde »

Mouravia – « No Photo ! »

Bairro Alto – Partie de Tic-Tac-Toe ?


Bairro Alto – Oiseau rare ou oiseau de nuit ?

Bairro Alto – Ciel ! qu'il a besoin d'une coupe de cheveux.



Bairro Alto – Camilo Mondo qui se fait faire une belle coupe à 23 H 30.
Il se couchera la tête plus légère.

Bairro Alto – Encore une montée !



Bairro Alto – Belle récupération ! J'aime beaucoup.


Bairro Alto – Elevador da Gloria.


Bairro Alto – Le Street art qui illumine la nuit.

Bairro Alto – Lisbonne ville ouverte.

Bairro Alto – Il est temps de rentrer à l'hôtel.

Bairro Alto – Lisbonne By Night, vue du miradouro (belvédère) de São Pedro de Alcântara.

Mon cœur se brise parce que c'est la fin de nos promenades...
 du moins pour l'instant.

À tant marcher, cela donne faim


Il faut du carburant pour parcourir tous ces kilomètres. Étant à Lisbonne, il fallait bien manger de la sardine. Eh bien, non ! Pas de sardines au menu, mais beaucoup de morue (bacalhau), morue fraîche, morue salée, morue frite, morue vapeur, morue en hamburger, en risotto, en salade, etc. Pas besoin d’ajouter que j’aime la morue. Mais il n’y avait pas que de la morue au menu et L’Autre a su trouver de quoi se sustenter. Il ne faut pas aussi oublier les savoureuses pâtisseries portugaises. Le nec plus ultra de notre expérience culinaire lisboète aura été notre repas gastronomique au 100 Maneiras (100 manières), dans le quartier Bairro Alta (ils ont aussi un second établissement, le bistro, formule plus simple et plus animée). Pas de menu, seulement une formule « dégustation », accompagnée de la formule vins simple. Nous avons été plus qu’heureux de pouvoir en profiter, car nous n’avions pas de réservation et nous avons été les seuls chanceux à être acceptés. Bravo pour notre chance ! Bravo pour notre panse !

Pour nous faire patienter :
Chips de morue salée
Mise en bouche
Première entrée
Deuxième entrée 
Plat de poisson 
Un trou normand surprenant
Plat de viande
Premier dessert
Deuxième dessert




Un autre lieu de boustifaille incontournable de Lisbonne est le mercado da Ribeira (dans Santa Catarina), avec sa foire alimentaire très trendy. Difficile de faire son choix, tant il y de propositions toutes aussi savoureuses les unes que les autres. C’est La place pour l’heure de l’apéro… et pas uniquement.

Atmosphère branchée.
Deux excellents vins portugais.



Notre dernier repas au restaurant Le Jardin.



L'entrée fait chic, mais le resto se trouve dans une cour intérieure couverte
très sympa et décontractée.
Mon entrée de pieuvre... un pur délice !
L'entrée de L'Autre... salade d'endives et betteraves.
Mon plat principal... morue à la Suisse ?!?
On aurait dit des rösti... Délicieux !
Le plat de L'Autre... des pâtes au pesto
à faire baver d'envie les Italiens.





Encore de la place pour davantage de saveurs de Lisbonne ?

La suite suivra bientôt !



L’avant et l’après :









1 commentaire:

  1. Merci Camil de me faire voyager avant le petit déjeuner ! Ça commence bien ma journée !

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