mercredi 21 octobre 2015

Côte amalfitaine – 18 au 20 juillet 2015


Accompagnement musical

À bas les masques, j’aime la chanson italienne. La mascarade peut prendre différentes formes et il ne faut pas seulement se fier aux apparences (pensez à Naples… sa beauté est au-delà des graffiti). Comme le chante Marco Mengonie dans la chanson que je vous propose, je crois en l’homme qui a le courage d’oser être humain. Car être humain c’est aussi la capacité de faire preuve de compréhension, d’amour pour les autres et d’esprit de solidarité.

Esseri umani

Mais, vous le verrez, la présente page du blogue sera moins philosophique et aura davantage une saveur gastronomique. C’est en pensant aux jouissances gustatives de cette étape du voyage estival de L’Autre et moi dans le Mezzogiorno et au fait que j’étais à me cuisiner un bortsch, saison oblige, que j’ai eu le goût de vous proposer une petite incursion musicale, non pas en Ukraine (où ce potage est le plat national), mais pas trop loin quand même, en Hongrie. J’adore aussi ces musiques métissées slavo-carpates – musiques hongroise, tzigane, klezmer et pourquoi pas ajouter aussi la musique des Balkans et turque –, avec leurs violons languissant et leurs accordéons chantant. Je l’avoue, j'ai un faible pour l’accordéon. Je vous invite donc à écouter la chanson Hétköznapi (qui peut se traduire par Tous les jours) du groupe hongrois Szabó Balázs. À écouter cette chanson, cela me donne le goût de retourner à Budapest, quelle belle ville… une de nos destinations préférées à L’Autre et à moi. Il faudrait bien que j’en parle un jour dans mon blogue.

Hétköznapi

La Campanie


Salerne (Salerno)

Armoiries d'une famille
de Cava de' Tirrene
Comme première étape, notre séjour à Naples a été bien rempli. Pour ceux et celles qui ne l’auraient pas encore constaté, je vous invite à aller voir les trois pages que j’ai consacrées à Naples : Jour 1Jour 2Jour 3 et à celle sur Pompéi. Notre second camp de base pour rayonner en Campanie a été à Salerne. Ce n’est pas la destination la plus intéressante de la région, mais elle nous a très bien convenus. Comme nous avons quittés Naples qu’en début d’après-midi pour s’y rendre, nous avons décidé de ne pas faire de grandes visites sur le trajet, mais bien de prendre notre temps et de flâner en empruntant la nationale plutôt que l’autoroute pour faire une partie du trajet. Ceci nous a amené à s’arrêter à Cava de’ Tirrene et à Vietri sul Mare. Dans le cas de la première ville, nous sommes arrivés en pleine heure de pisolino (de la sieste). Sa rue principale, bordée d’arcades fleuries, est très jolie et agréable, mais déserte… une vraie ville fantôme. Nous avons juste vu un couple de jeunes mariés (en pré- ou post-mariage !?!) en train de se faire prendre en photos par une équipe de professionnels composée de cinq personnes avec un assortiment innombrable d’appareils photos, caméras, spots, accessoires de maquillages et de coiffure, ventilateurs, etc. La séance de photos de mariage, ici, c’est vraiment du sérieux. Ce n’était que le premier de plusieurs à suivre. Vietri sul Mare était tout le contraire de la première ville, une vraie marée de monde et de voitures (avec en prime un autre mariage). Il ne fallait pas en être surpris car c’est ici que débute la côte amalfitaine. Arrivée à Salerne en fin d’après-midi, juste à temps pour que nous puissions faire un saut dans la piscine pour nous rafraîchir. Un peu plus tard, retour vers le centre pour nous restaurer dans la vieille ville aux ruelles tortueuses et animées. Était-ce le fait que Salerne est une cité balnéaire, le fait que nous étions le samedi soir, le fait que nous étions au cœur de la saison estivale, le fait que nous passions par le front de mer (le lungomare) ou toutes ces raisons, il n’en demeure pas moins que nous avons connu un embouteillage monstre pour le retour à l’hôtel. Cela finit tellement bien la soirée.

Cava de’ Tirrene 
La rue principale bordée d'arcades, cela rappelle un peu Bologne.

Cava de’ Tirrene 
Personne pour ramasser le courrier ?
Ou bien, peur de la bête ?

Cava de’ Tirrene – Belle porte orange.


Cava de’ Tirrene – Autre belle porte.


Cava de’ Tirrene – Autre belle porte (détail)


Cava de’ Tirrene – Heurtoir.

Cava de’ Tirrene – Petite pose pour recharger les batteries.

Vietri sul Mare – Beaucoup d'immeubles de la ville ont d'imposants porches.

Vietri sul Mare – Patine d'une autre époque.


Vietri sul Mare – Vue sur la ville et Salerne (tout au fond).

Salerno – Surréalisme ou lucidité ?


Salerno – Succession d'époques.


Salerno – Galerie improvisée et temporaire.


Salerno – « Lumière d'artiste »
Une idée brillante ?
L'éclair de génie sur demande ?
Pour que la lumière soit ?


Salerno – Porte mystère.


Salerno – Écaillage transformé en bestiaire chimérique.

Salerno – Arche de porche avec voûte bleue nuit.

Salerno – Une invitation au recueillement...
... Moi aussi j'aurais dû suspendre
un chapelet pour éviter le bouchon de circulation.



Sorrente (Sorrento)

Seulement trois jours pour faire le reste de la Campanie, c’est mission impossible. Il faut donc choisir. Comme dit la chanson : Capri c’est fini. Aussi nous avons décidé de ne pas s’y rendre cette fois-ci, même si c’est magnifique (à y retourner j’irais au printemps ou à l’automne et non pas en plein cœur de l’été). J’aurais dû suivre le même raisonnement pour ce qui est de Sorrente et la côte amalfitaine (classé au patrimoine mondial de l’Unesco). Car oui, c’était bondé. Pire, nous étions là durant le week-end. Tout Naples voulait fuir la canicule et se rafraîchir sur la côte. Mais nous ne pouvions pas aller en Campanie sans nous promener aux abords du golfe de Naples et sur la côte amalfitaine. Prenant notre courage à deux mains et ayant aiguisé notre patience (la veille au soir à Salerno), nous avons roulé vers Sorrente. Cela nous a pris une heure quarante pour faire les 27 km entre Castellamare di Stabia et Sorrente. Comme désennuie, L’Autre a même eu le temps de compter au moins 340 vespas, scooters, motos ou vélos qui nous ont dépassés en se faufilant entre les voitures quasi stationnaires ou roulant à pas de tortue. Ah les vacances à la plage, j’adore !?! Une fois rendu à Sorrente, il fallait trouver où stationner. Encore 30 minutes de perdues à nous fourvoyer avec une signalisation routière contradictoire, à prendre un sens unique à l'envers (la signalisation indiquait d’aller à gauche sur un sens unique vers la droite ?!?), à convaincre L’Autre, qui n’avait pas le plan de la ville, que comme copilote, j’avais une meilleure orientation que lui (surtout avec les différents guides et plans en mains). Bon, nous y étions enfin. Que la visite commence…


Bienvenue à Sorrento.


Bord de mer vu du haut de la falaise.


Cloître du couvent de San Francesco, où...


... nous avons visité une exposition temporaire du photographe Raffaele Celentano.





 Photos de Raffaele Celentano.
Avez-vous remarqué Venise ?





Petit instant de repos.


Autre exposition d'œuvres de marqueterie fine. 


Carré de Sorrento


Positano

Nous devions poursuivre notre itinéraire. La prochaine étape était la côte amalfitaine. Nous anticipions une circulation dense, des embouteillages, mais ce ne fut pas le cas. Mais si nous voulions arrêter pour prendre des photos ou contempler le paysage, tous les espaces disponibles pour garer la voiture (et voire les impossibles) étaient tous pris. La seule chance, que nous ayons eue, aura été de ne pas suivre un bus ou un camion (nous voyions dans l’autre sens de la circulation ce que cela pouvait représenter). Notre premier arrêt sur la côte aura été Positano. Nous avons osez nous rendre le plus près possible du centre de la ville pour trouver à nous stationner et cela a été payant, car nous avons déniché un espace miraculeusement bien placé. Une fois que nous ayons commencé à nous promener dans la ville, j’ai été surpris de constater que je ne reconnaissais pas le lieu. J’avais vis-à-vis Positano, la même amnésie passagère que L’Autre avait eue à Sorrente. Il me disait : « Regarde, c’est la rue de la pâtisserie où nous allions acheter les croissants… et par là, le chemin pour nous rendre à la plage ». À Sorrente, c’est moi qui lui rappelais les repères équivalents. Dans le fond, L’Autre et moi nous nous complétons et nous voyageons tellement bien ensemble. Nous avons passé qu’une heure ou deux à Positano, mais nous avons pris le temps de nous rafraîchir en dégustant café glacé et sorbet au citron sur une très agréable terrasse.


La plage de Positano


Autre vue de la plage


Positano regorge de galeries d'art très intéressantes
où la prise de photos est interdite.


J'ai quand même enfreins la règle pour vous montrer
un des styles de tableaux (à inspiration locale) largement proposés.
Ce n'est pas votre tasse de thé ?
Ne vous en faites pas car l'offre est très variée...
Vous arriverez bien à trouver la perle rare.


Même sur la côte amalfitaine on ne peut se passer de Venise. 


Pour le jaune de la porte.


Pour petite pose à l'ombre et bien fraîche... Délicieux !


Amalfi


Ancienne république maritime italienne (à l’instar de Pise, Gènes et Venise, ses rivales) Amalfi vit dans le souvenir de sa splendeur passée, lorsqu’elle imposait sa loi à toute la Méditerranée (au Xe siècle, mais son déclin débuta dès le XIe siècle avec la montée en puissance de Gènes et de Venise). Aujourd’hui, Amalfi est surtout connue et appréciée comme station balnéaire et dispute à Capri et à Positano la préséance comme lieu de vacances.

Autres temps, autres mœurs et à chacun sa relique. La république d’Amalfi a fait des pieds et des mains pour mettre la main sur les reliques de Saint André. Aussi, la visite du Duomo et du musée diocésain est impérative pour pouvoir comprendre l’importance de cette petite ville (6 000 habitants) et apprécier sa richesse historique et culturelle, notamment en ce qui a trait à l’art sacré. Nous avons encore une fois été conquis.

En route vers Amalfi.



   La Cathédrale d'Amalfi  Duomo di Amalfi ou Cattedrale di Sant'andrea
Bâtie au XIe s., elle fut remaniée en 1203 puis en 1731. 



Couloir à colonnade entre la cathédrale, le campanile,
le cloître du Paradis et la chapelle du Crucifix.


Détail de la porte en bronze du portail principal, fondue à Constantinople en 1066,
est l'œuvre de Siméon le Syrien.


Le Duomo – détail du chœur avec le tableau de Saint André.


Le Duomo – autre détail.


Le cloître du Paradis – servait de nécropole pour les familles riches d'Amalfi
avec son péristyle soutenu par 120 colonnes de style arabisant.


Le cloître du Paradis – fresque ancienne.


Le cloître du Paradis – mosaïque I


Le cloître du Paradis – Détail de la chaire byzantine de la cathédrale (1174 – 1202)
avec des décorations en mosaïque de l'école de Cosmates.


Le cloître du Paradis – mosaïque II


Chapelle dans le cloître du Paradis – Christ Pantocrator.


Chapelle dans le cloître du Paradis –
Christ Pantocrator (détail)


Chapelle dans le cloître du Paradis –
Fresque de Roberto d'Oderisio (de l'école de Giotto – XIVe s.)
qui représente au centre le Christ, la Vierge souffrante, Saint-Jean, Marie-Madeleine,
les soldats et, en haut, l'ange qui prend en charge l'âme du bon larron.


Chapelle dans le cloître du Paradis –
Détail d'un putto.


Le cloître du Paradis – Bas-relief.


Un peu plus et on se croirait à Séville ou à Marrakech.


La basilique du Crucifix – aujourd'hui le musée diocésain –
était l'ancienne cathédrale d'Amalfi. 
La basilique du Crucifix – Aperçu des fresques.


La basilique du Crucifix –
fresque décorative I

La basilique du Crucifix –
fresque décorative II






Musée diocésain – Beau travail d'orfèvrerie.
C'est dommage, je n'ai pas pris de photos des deux plus belles pièces du trésor :
la Mitre de la famille d'Anjou (fin du XIIIe s.) et un calice (XIVe s.)



La Crypte – C'est le cœur d'Amalfi, car c'est ici où sont gardées la tête et les reliques de Saint-André.
Elle date de 1253, mais a été rénovée au XVIIe s. en style baroque avec des fresques au plafond
représentant des scènes de la Passion du Christ.


La Crypte – détail des riches et élégantes décorations en stuc.


La Crypte – Statue de Saint-André (1604)
Michelangelo Naccherino (élève de Michel-Ange)
(Florence 1550 – † Naples 1622)


La Crypte – décoration de marbre polychrome.


La Crypte – Croix de Saint-André 
La Crypte – Saint-Laurent







En route pour son dernier repos.


C'était l'heure de l'apéro... de l'Aperol Spritz !


Ravello

Un de mes villages préférés d’Italie et l’endroit de rêve quand on veut séjourner sur la côte amalfitaine (ce sera pour une autre fois… peut-être !?!). Je tenais à y retourner car je voulais profiter de la vue du site et de l’ambiance, comme l’a dit Charles Baudelaire dans son poème L’Invitation au voyage :
« Là, tout n’est qu’ordre et beauté.
Luxe, calme et volupté. »
Pour sa part, Diane Tell dit dans sa chanson Si j’étais un homme, que je te ferais construire une villa à Bergame. Si j’avais à choisir, j’opterais pour Ravello. C’est vous dire comme cet endroit est magique pour moi. Dans le fond, je suis un romantique introverti.



Trêve de plaisanteries, ce voyage en n’était pas un de noce, mais cela ne nous a pas empêché de faire bombance au Palazzo Avino et ce deux fois plutôt qu’une. En effet, L’Autre voulait m’inviter à souper dans la principale salle à manger de ce magnifique palais, mais comme nous n’avions pas de réservation pour le soir même, nous avons dû réserver pour le lendemain soir. Mais tant qu’à être sur place, il a dit que nous pourrions manger sur la terrasse belvédère. Ce n’était vraiment pas un prix de consolation, loin de là. Au moment de retourner à l’hôtel, le charme de la soirée a vite disparu, quand L’Autre a décidé de prendre le chemin vers l’autoroute tel qu’indiqué sur le panneau routier plutôt que de suivre mes consignes. Nous avons donc eu droit à un détour de 20 km sur des petites routes de montagne. En prime et vers minuit, nous avons été pris dans un autre embouteillage (40 minutes pour faire 6 km), car la route traversait un petit village en pleine fête du saint local. Hors de question d’arrêter et de festoyer avec eux. Le lendemain soir nous revenions à Ravello pour notre souper gastronomique… je suis sans mots car encore transporté par l’émotion de cette expérience gustative, mais mon petit côté sadique veut vous rendre un peu envieux en vous présentant les photos (même si pour certaines floues) de plusieurs des plats que nous avons savourés. Le retour à l’hôtel ce deuxième soir a été nettement plus rapide et sans embûches. 

L'été à Ravello...un plaisir pour tous les sens.


À coup sûr, l'arbre le plus photographié de Ravello.


Magnifique ! on ne s'en lasse jamais.


Tour à la Villa Rufolo...


... où a lieu le célèbre festival annuel de Ravello...

... cette année, c'était leur 63e édition.


Dans les jardins de la villa Rufolo.


Détail de La Crucifixion
Bronze d'Augusto Perez



Hermaphrodite
Bronze d'Augusto Perez
Titre ??
Bronze d'Augusto Perez
Le pisolino




Villa Rufolo


Là aussi on offre les mêmes tableaux...

... mais pas seulement...


C'est un carré... mais pas de moi.
Sculpture de bronze
Sculpture de bois
Sculpture de céramique
Sculpture de verre









Détail de la porte en bronze du duomo,
due à Barisano da Trani (1179)

Il y a de tout pour tous.


Même des miroirs pour une autophoto.

Ça c'est une terrasse avec vue.

Palazzo Avino


Un bar chic, accueillant et chaleureux.


Le panorama de la terrasse de la villa où nous avons mangé le premier soir...


Pour L'Autre  Salade Caprese.
Pour moi  Proscuitto avec accompagnement mixte.


Pour L'Autre  Calmar.
Pour moi  Tagliatelle aux fruits de mer. 

J'ai tellement apprécié,
que je me suis même laissé prendre en photo par L'Autre.
Santé !...



Magnifique rosé pour accompagner un si bon repas.


Le lendemain  Prise II pour un autre magnifique repas...
Menu Degustazione 'Il Mare' 

Pour moi  La 'Mia' Pasta alle Vongole Veraci ('Mes' pâtes aux palourdes)
Raviolis aux palourdes, ail, huile, poivron et tomates cerise Piennolo

Pour L'Autre  Aubergine avec truffes.

Pour L'Autre  Canard servi selon trois façons.

Pour moi  Je ne me souviens plus, mais c'était très bon.
Pour moi 
Pêche avec sorbet à la basilique

Pour L'Autre 
Délice aux trois chocolats














Pour les deux  Circuit découverte des saveurs.


Pour moi  L'Astice Reale (Homard royal)
servi avec une sauce tomate San Marzano, bufala crémeux, aubergine confite et sa bisque aromatisée


Pour moi  Il Baccalà (Morue)
servie avec un gaspacho de tomate San Marzano, granité de câpres et ricotta grillé




Quelques douceurs en fin de repas pour aider à avaler l'addition...
surtout que c'est L'Autre qui voulait m'inviter, mais c'est moi qui a ramassé la facture.



Paestum

Je cherchais une raison pour inciter L'Autre à retourner visiter l'un des plus beaux sites archéologiques de l'Italie du Sud, celui de Paestum, avec ces trois temples grecs probablement les mieux conservés au monde et qui restituent la physionomie d'une colonie de Grande-Grèce. En préparant le voyage et via mes recherches sur le net, j'avais vu qu'il y avait un important centre commercial d'outlets tout près. Il n'en fallait pas plus pour le convaincre. Aussi, après la visite du site, nous avons passé une heure ou deux à faire du shopping. L'Autre était aux anges, car il a acheté trois paires de chaussures. Seule déception de mon côté, le musée était fermé car jour de relâche.



Temple d'Athéna (dit temple de Cérès).


Vue d'ensemble d'une partie du site avec le Temple d'Athéna au fond.



Détail du Temple d'Héra II (dit temple de Neptune)



Temple d'Athéna (dit temple de Cérès).


Temple d'Athéna (dit temple de Cérès).


Un concert tentant,
mais le lendemain de notre départ.


Temple d'Héra II (dit temple de Neptune) à l'avant plan et le Temple d'Héra I (dit le temple de la Basilique).



Probablement les meilleurs cafés de notre voyage,
servis sur une table représentant la célèbre mais énigmatique fresque
avec la scène du plongeon.



C'est la fin de notre séjour en Campanie.
La prochaine page portera sur la Basilicate.








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