Copenhague – 6 au 11 décembre 2012

Accompagnement musical

L’Autre et moi étions à Copenhague au début de l’Avent, il n’est donc pas surprenant que nous soyons tombés sur un concert de Noël. Eh bien oui, ce fut le cas, alors que nous nous promenions en soirée dans le quartier du château royal, pour suivre un magnifique alignement de places et d’édifices élégants : l’Opéra de Copenhague, le jardin d’Amélie, la place centrale du Palais d’Amalienborg et l’église Saint-Frédéric (Frederiks Kirke), « l’église de marbre ». C’est dans un alignement comme celui-ci, qu’on comprend que l’urbanisme peut faire toute la différence. Il était 21 H passé, et je constatai qu’il y avait des gens à l’extérieur de l’église, je proposai donc à L’Autre d’entrer dans celle-ci pour lui donner un aperçu des lieux. Un fois à l’intérieur, nous réalisames que c’était l’entracte d’un concert de Noël, une représentation du Messie de Haendel. Opportunistes et amateurs que nous sommes, nous nous sommes faits petits et avons assisté à la deuxième partie du concert. Aussi, pourquoi ne pas faire comme nous et écouter cette musique céleste pour se mettre dans l’ambiance de Copenhague et du temps des Fêtes qui approche à grand pas. (Pour celles et ceux qui regardent ce blogue sur leur tablette, cliquez ici.)

COPENHAGUE

Vous savez, au début de cette année (2014), je vous disais que j’avais le goût de revenir plus souvent à mon blogue pour vous faire vivre a posteriori mes pérégrinations de 2012. Avec ce retour sur Copenhague, je termine donc ainsi mon survol des péripéties d’il y a deux ans. Promesse tenue ! Mais c’est aussi un moyen de vous mettre en appétit en pensant au prochain voyage imminent (dans 5 jours, Helsinki, nous voici !) pour poursuivre nos escapades à la découverte des marchés de Noël d’Europe (l’année dernière, c’était Prague ; vous l’aurez compris, Copenhague, en 2012 ; et Bruxelles-Paris, en 2011).

Si vous demandiez à L’Autre ce qu’il a retenu le plus de notre séjour à Copenhague en 2012, il vous répondrait assurément le froid et la tempête de neige que nous avons dû affronter alors que nous marchions près de l’eau pour se rendre au centre commercial Stadium. Oui, qu’il a fait froid lors de ce voyage, mais ce n’était rien en comparaison de mon séjour à Copenhague en 2010. Le 25 décembre de cette année-là, il a fait - 28 degrés Celsius… et un vent à écorner les bœufs. Ça c’était froid ! Beau cadeau de Noël ! C’est un peu à cause de ces intempéries hivernales que nous avons décidé l’année dernière de ne pas attendre en décembre pour aller à Stockholm, mais bien d’y aller en novembre. J'allais l'oublier, à cause du froid et du 5 cm de neige tombé à Paris, notre vol avec Air France, entre Paris et Copenhague, avait été annulé !!! - Avec 20 ou 25 cm de chute de neige, je pense que l'aéroport Charles-de-Gaule, Paris, voire la France en entier, seraient coupées du reste du monde (on est vraiment loin du Québec) - Aussi, nous avons dû changer de compagnie aérienne pour arriver à destination... mais le prix à payer a été de ne pas retrouver nos valises à l'arrivée, d'où le fait d'être pas assez chaudement vêtu pour la saison. Nous avons donc dû attendre deux jours avant de les récupérer (entre temps, nous avons eu froid, car on ne voulait pas dépenser pour s'acheter des vêtements chauds de rechange). Au demeurant, que sera notre prochain séjour à Helsinki, vous le saurez d’ici deux semaines. Par ailleurs, une chance que je suis allé à Copenhague en 2010, car je n’aurais aucune photo à vous montrer. En effet, mes problèmes d’ordinateur de l’année dernière ont réellement fait disparaître toutes mes photos de Copenhague-2012. Aussi, le diaporama sera court et utilisera mes photos de 2010.

Mais si vous ME demandiez ce que j’ai retenu de ce dernier séjour à Copenhague, je vous répondrais pour ma part, les très bons repas (j’y reviendrai), le design danois et scandinave que l’on voit partout (il fait vraiment partie de la vie des gens) et surtout la découverte de magnifiques pistaches vertes, d’un vert plus vert que vrai, de chez Blomsterberg’s. De vraies émeraudes ! Un petit trésor qu’il m’a fait plaisir de partager avec mes amies épicuriennes. Tout dans cette boutique nous attirait. Les tentations multiples ne pouvaient que nous faire succomber. Heureusement, car les pâtisseries étaient excellentes. J’y ai même acheté des verrines (pas pour les manger, mais bien pour les utiliser chez-moi). Si vous voulez vous gâter, il est possible d’acheter en ligne !!

À parler de bouffe, cela donne faim. Aussi, je veux revenir sur nos deux coups de cœur gastronomiques copenhaguois. Le premier est le restaurant Brdr.Price, une carte inspirée par les recettes traditionnelles danoises et scandinaves, mais revues avec une vision contemporaine, le tout servi dans un décor rustico-théâtral. L’entrée de betterave était sublime ! Le second est le restaurant Reinwald’s, à un jet de pierre de notre hôtel (c’est un plus, quand il fait froid !). Un décor simplissime. Un personnel tout féminin. Un des meilleurs services que nous ayons connu depuis des lustres. Un menu mélangeant cuisine scandinave, française et du monde. L’Autre et moi avons tellement aimé, que nous y sommes retournés le lendemain. Nous lui donnons une note de 6 sur 5 !! Je rêve de retourner à Copenhague uniquement pour aller y manger de nouveau.

Avant de débuter avec les photos, je voulais ajouter que les marchés de Noël de 2012 étaient beaucoup moins nombreux et intéressants que lors de mon séjour de 2010. Était-ce parce que nous étions trop tôt en décembre ? Je ne le sais pas, mais nous n’avons quand même pas boudé notre plaisir.

Il faisait tellement froid, que l'eau de mer était gelée.

Il n'y avait pas trop de circulation à vélo cette journée-là.

J'étais allé à Copenhague en 2010 pour aller voir les Happy Christmas Trees
(un dérivé du concept de la Cow Parade), que je voulais importer au Canada.
Mais les discussions n'ont pas été concluantes, comme le concept d'ailleurs.  

Promenade dans l'ancienne forteresse (le Kastellet) par un froid sibérien.

On est bien dans le nord de l'Europe.

Les édifices de couleur rouge ou jaune sont tellement typiques des pays scandinaves.

En route vers le centre commercial, un air glacial nous brûlait la peau.

Le brave soldat gardant la garde. Quelle garde ?... La garde-malade ?
Ou bien est-ce plutôt un garde-chiourme ?

Le nouvel Opéra de Copenhague, sur la rive opposée du port.

Je monte la garde au garde-à-vous.

La place centrale du Palais d'Amalienborg, avec la statue du Roi Frédéric V, de 1771.

Statues en attente de socles, car la toiture de l'église de marbre est en réfection.

L'église Saint-Frédéric (l'Église de marbre).

Le hall de mon hôtel en 2010, avec un Happy Christmas Tree plaqué Or.

Le vélo se fait mieux en été à Copenhague.

J'ai adoré les tons orangés de la ville.

La statue d'un David "gelé" devant l'immeuble de la collection royale de sculptures.

Si je me retenais pas, j'irais prendre un Spritz à côté.

Ici, on offre des Spritz pour les David gelés !!!
Il fait quand même moins froid à Venise durant le Carnaval (sic) !

Glyptothèque de Ny Calrsberg :
Magnifique collection, mais toutes mes photos sont floues ou presque.

Sculpture au centre du jardin d'hiver du musée. 
Il y a aussi un café qui est LE rendez-vous pour un brunch.

On dirait que les fantômes de Philadelphie me poursuivent partout. 

J'ai aimé les projections "animées" sur les statues.

Le musée national (NationalMuseet) :
surtout pour sa collection ethnographique...

... j'ai trouvé la collection encoure plus intéressante que celle du Musée du Quai Branly à Paris.

Beau plat d'Asie mineure.

Le tout est très bien présenté avec un réalisme saisissant... 

... on comprend bien que les Danois (ici Knud Rasmussen : 1879-1933) ont toujours été de grands explorateurs. 

En se rendant au Musée royal naval danois dans le quartier Christianshavn.

J'aime !

De très belles maquettes.

Canons, modèles de poche pour le voyage.

Au fond, notre hôtel en 2012.

On ne peut pas aller à Copenhague, sans visiter le parc Tivoli...

... en hiver, cela n'a pas la même frénésie qu'en été,
comme quand L'Autre et moi étions allés la première fois en 1995... 

... mais les lumières nous réchauffent un peu.

Le Danemark c'est aussi les mini-briques Lego.

C'est ce à quoi je ressemblais quand je suis entré dans le magasin. 

L'Autre a préféré davantage cette autre enseigne.

On y trouvait de tout pour la maison...

... même une vache que j'ai rapportée.

Avant de quitter, je vous décrocherai une étoile, juste pour vous.

Australie – Juillet – août 2012

Accompagnement musical 

Pas de chance, je ne me sens pas inspiré ! Il y a des places qui vous transportent, d’autres qui ne provoquent aucune musicalité. L’Australie tombe dans cette deuxième catégorie pour moi. Désolé pour les Australiens et pour tous les autres amoureux de ce pays.

L’AUSTRALIE

Le Down Under, comme les Australiens aiment bien appeler leur pays, est si grand qu’il est presqu’un continent à lui tout seul. Comme le mentionnent les guides, l’Australie est l’île de tous les extrêmes : c’est à la fois le plus ancien des continents, le plus isolé, le plus massif, le plus plat et le plus sec. C’est encore un Eldorado pour l’exploitation de ses richesses naturelles (principalement minières), mais aussi pour la jeunesse française qui y trouve les emplois qu’elle ne saurait trouver dans l’Hexagone. En effet, vous ne pouvez pas aller dans un restaurant sans que vous rencontriez au moins un(e) serveur(se) Français(e) qui y travaille. Par ailleurs, vouloir faire le tour du pays en un mois, c’est comme vouloir faire la visite du Canada, pour les Français, en quinze jours (comprenant naturellement : Montréal, Québec, la Gaspésie, les Îles-de-la-Madeleine, Charlevoix, les Laurentides, Ottawa, Toronto, Les chutes du Niagara, les Rocheuses, etc. etc… et pourquoi pas, avec un petit détour par New York). Dans les faits, cela est une mission impossible !

Alors, pourquoi y va-t-on ? Pour dire que nous sommes allés de l’autre côté de la planète, voir le Monde à l’envers. Pour voir les kangourous et dingos, les émeus, les diables de Tasmanie et les koalas. Pour faire le tour de la grosse roche (dans le parc national Uluru-Kata Tjuta) au centre du pays. Pour pouvoir aussi dire (comme Priscilla, la « Folle du désert ») que nous avons traversé l’Outback (le centre aride, le cœur, du pays). Pour dire, amoureux des plages et de la mer, que nous sommes allés faire notre Chemin de Compostelle sur la Great Ocean Road, pour se recueillir devant les 12 Apôtres (la photo à gauche), ou bien surfer sur la Grande barrière de corail. Pour voir des gens sympathiques, pour visiter des villes palpitantes et pour découvrir des paysages époustouflants, etc. etc. etc… Malgré notre bonhomie non impérieuse, mon petit côté Italien ou Romain pour L’Autre, nous a quand même amené à faire des Jules César de nous-mêmes et nous sommes Veni, Vidi, Vici en Australie. Cependant, c’est l’air dépité, l’escarcelle vidée, que nous sommes revenus de cet antipode. Car l’Australie coûte cher, très cher ! Un exemple. Pour visiter (« escalader ») le pont de Sydney, il en coûte 265 $ CAN par personne (pour une visite de deux heures). Au demeurant, nous avons quand même aimé notre séjour, mais nos cœurs meurtris rêvent davantage en pensant au sud de l’Afrique (l’Afrique du Sud en premier lieu et la Namibie en second), car tout y est encore plus beau, plus dépaysant, plus « sauvage » et ce, à une fraction du prix de l’Australie.

De façon plus prosaïque, notre voyage austral de l’été 2012, qui a duré 28 jours, nous aura permis de prendre 14 vols (dont 5 pour s’y rendre et en revenir et 9 pour se déplacer dans le pays), de demeurer dans 9 villes différentes (dans un cas, la brousse serait un terme plus juste), de parcourir en auto au moins 3 000 km (et je me pose même la question si ce n’est pas plutôt 4 000 km… L’Autre devrait le savoir car c’est lui qui a conduit tout le temps !!!).

Avant de commencer avec les photos, je tiens à mentionner que cela fait deux ans et demi que nous sommes revenus de ce voyage… et le temps a fait son œuvre, car j’ai déjà oublié pleins de détails sur celui-ci. Généralement les photos me servent de repères et de déclencheurs de souvenirs (c’est comme si mes « albums » de photos jouaient pour moi le rôle de capteurs de rêves). Mais cette fois-ci ce ne sera pas possible car j’ai perdu (du moins je le pensais) toutes les photos du voyage en Australie, ceci dû à mes problèmes d’ordinateur de l’année dernière. Mais heureusement, J’en ai retrouvé une grande partie il y a quelques jours, classée dans le dossier Florilège de Venise, qui lui était classé sous l’année 2007 !?! Cherchez l’erreur docteur, on est loin de notre compte, moi qui pensais devenir archiviste. Mais ce qui importe c’est d’avoir quelque chose à se mettre sous les yeux. Tout heureux de ma découverte, je me suis donc mis à les regarder et quelle ne fut pas ma surprise de constater que j’avais pris seulement des photos en dehors des villes (exception faite de Sydney). Il est vrai que je n’avais pas encore débuté mon blogue et que mon assiduité dans la prise de photos étaient plus qu’aléatoire. C’était peut-être aussi dû au fait qu’à l’époque je me promenais avec tout mon attirail de lentilles… et où je ressemblais plus à une vraie « Marie Quatre-Poches » en vadrouille dans la ville. Que faire ? Comment passer sous silence les villes d’Hobart en Tasmanie, de Melbourne dans la région du Victoria, d’Adélaïde dans la région Sud du pays, d’Alice Spring et Ayers Rock-Uluru (c’est là la brousse) dans l’Outback central du pays, de Darwin tout au nord du Territoire du nord et les villes de Cairns et Brisbane, dans le Queensland ? C’est bien simple, on n’en parle pas. Il restera toujours Sydney pour mettre un peu d’urbanité dans cet immense pays aux paysages souvent désolés, mais toujours magnifiques, et aux ambiances du bout du monde. Je vous propose donc une brève balade imagée dans ce pays de contrastes, qu’est l’Australie.

Tasmanie

Hobart + Itinéraire en Tasmanie.

La côte découpée de la Tasmanie...

... par un matin frais et brumeux...

... la rosée perlait sur l'herbe.

Pas encore en prison !
La colonie pénitentiaire de Port Arthur (inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco)...
elle aura été souvent la première porte d'entrée pour biens des immigrants forcés,
mais pour nous, un avant-goût du Eastern State Penitentiary de Philadelphie.

Port Arthur : Même les arbres semblent faire le guet.

Port-Arthur : Chambres (cellules) avec vue sur cour.

Port-Arthur : J'aimerais avoir cette patine mousseuse sur mon muret, côté fleuve.

Port-Arthur : La cour semble plus intéressante que les intérieurs.

Port-Arthur : Mon carré d'ocre.

Port-Arthur : Mon carré vert (acanthe Ange de Tasmanie).

Il faut bien arriver avec la première fleur et ne pas savoir son nom !!

Le calme hivernal de la Tasmanie.

Une anse de repos.

Est-ce que j'ai senti un peu de chaleur ?...
(jeune plan de Banksia serrata en fleur)

...  À qui le dis-tu ?
(plan mature de Banksia serrata en fleur)

Le Mimosa doré (Acacia pycnantha Golden Wattle).

Richmond : Fleurs funèbres... en plastique !

Richmond : La vie ne dure qu'un temps...

... mais elle se perpétue.

Un beau coucher de soleil sur Norfolk Bay.

La forêt humide, source de vie.

Le Tahune Forest Airwalk, pour avoir une vue en plongée sur la nature. 

Vue sur la canopée de la forêt ombrophile de Tasmanie, une relique du Gondwâna,
le continent primaire avant la dérive des continents.
(inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco).

Est-ce qu'on s’attable pour un petit pique-nique ?

Ne comptez pas sur moi pour fournir la bavette de veau. C'est compris ?...
C'est pour toi la Comtesse.

... Ni sur nous pour les magrets, les confits ou le foie gras !?!

Je ferais bien un petit tour de chaloupe.

La région du Victoria

Melbourne + Itinéraire dans la région du Victoria.

Melbourne : Petite pause chocolatée pour prendre des forces avant de parcourir la contrée.

Bord de mer à Portsea, sur la pointe de la péninsule de Mornington (à l'est de la baie de Port Philip).

Je pense que nous sommes sur la bonne piste !

L'appel de la mer.

La campagne vallonnée de la région du Victoria.

Ambiance pastorale.

La Great Ocean Road : en marchant dans la forêt côtière - 1.

La Great Ocean Road : en marchant dans la forêt côtière - 2.

La Great Ocean Road : en marchant dans la forêt côtière - 3.

Je sens que le Yellow Thornbill (Acanthiza nana) nous dit que la mer n'est pas loin.

Le parc national Port Campbell, une côte sculptée par la mer - 1.

Une dentelle de roche vue de l'entrée de la grotte.

Le parc national Port Campbell, une côte sculptée par la mer - 2.

Le secteur du naufrage.

Comme une  part de gâteau.

Une promenade dès plus spectaculaire.

En marchant sur la plage...

... on devine à peine ce qui nous attend.

Une partie des Douze Apôtres.

Une côte parsemée de Pots-de-Fleurs...

... comme un mirage.

Une vraie côte dorée.

L'Australie méridionale

Adélaïde : Petite virée dans la région de l'Australie méridionale.

Un cacatoès rosalbin pour nous souhaiter la bienvenue dans la région.

Point besoin de lunettes pour voir tous ces pélicans à lunettes.

Habit de camouflage sylvestre.

Petite pause détente pour se marsupial dérangé par une Colombine Longup.  

 Le regard de feu de l'émeu.

 Belle et énorme fougère.

 Les spécimens ne sont pas toujours gentils.

 Le village d'Hahndorf, la plus ancienne implantation allemande d'Australie,...
un petit air bavarois dans l'Outback australien.

Le Sud du Territoire du Nord

Alice Spring & Uluru : Environ 1 000 km dans la solitude désertique du Centre rouge de l'Australie.

Même au milieu de nul part, l'Homme a marqué son passage (peinture rupestre).

Une crevasse entre les rochers, un point d'eau, il n'en faut pas plus pour voir des Salmon Gum (Eucalyptus tintinnans).

Roc sculpté par le vent et l'eau !?!

La vie est toujours la plus forte.

Un mur rideau.

Quand on veut, on peut.

L'eau viendra bien un jour.

Oasis de fraîcheur : rencontre de la roche et de l'eau.

Mon Inukshuk laissé dans les MacDonnell Ranges.

On croirait voir arriver Monsieur Douglas sur son tracteur.

Même au milieu de la solitude désertique, les arbres sont tagués.

Roche sanguine ou la couleur de la pierre.

Un marbré rocailleux.

Tronc d'arbre quasi pétrifié.

C'est comme si la pierre était incandescente.

Une vallée aux couleurs iridescentes.

Les belles lignes de L'Autre...

... ou les replis rocheux.

La Glen Helen Gorge. 

Moment de détente rafraîchissant.

Autre aspect de la Glen Helen Gorge.

La carrière d'ocres...

... une vraie boîte de pastels multicolores.

En route vers le Kings Canyon.

À l'approche de l'escarpement rocheux.

Variation sur un même thème.

Feuille de papyrus ou paroi en braille du Kings Canyon ?

Pour vous mettre tout ça en perspective.... l'échelle change tout !

Une vue de la gorge avec au fond un étonnant jardin tropical, appelé "Garden of Eden".

Un vrai jardin d'abondance pour la faune ailée. 

La "pomme de l'Éden" : la Grevillea Winpara Gem.

Une autre gemme naturelle.

Bienvenue au parc national Uluru- Kata Tjuta, inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco,...
le monolithe rouge, l'emblème, le nombril, le cœur, l'âme, de l'Australie... À vous de choisir.

Plus l'on se rapproche, plus on constate l'immensité de ce "petit caillou" (Uluru).

Mais c'est aussi la partie Kata Tjuta (à environ 50 km plus à l'ouest).

Ici tout est saturé de couleur.

Grevillea Honey Gem.

Kata Tjuta : Belle promenade en vue.

Kata Tjuta : Le gâteau Bundt australien.

Kata Tjuta : Autre vue d'ensemble.

Kata Tjuta : Les couleurs sont irréelles.

Uluru : En fin d'après-midi.

Uluru : Une invitation à monter.

Uluru : Et c'est un départ !

Uluru : À mi-chemin de la montée, nous avons décidé de rebrousser chemin.
Était-ce dû au vertige ou bien à cause de tout mon attirail photographique ?
La réponse : Un peu des deux, mais aussi à la crainte de glisser.

Uluru : la surface dartreuse de la pierre. C'est comme si le rocher souffrait de psoriasis.

Uluru : Nous ne sommes pas les seuls à vouloir atteindre le sommet.

Uluru : La gorge de Kantju.

Uluru : Terre sacrée pour les aborigènes.

Uluru : Coulures noires laissées par le ruissellement des eaux de pluies.

Uluru : On quitte avec regret le site en rêvant déjà de revenir pour y passer au moins trois-quatre jours.

Le Nord du Nord

Darwin : 836 km pour pas grand-chose.

Reliquat d'une stèle funéraire ?
Non, mais les restes d'une termitière (il y en avait un cimetière entier).
On a tellement pas aimé, qu'on est presque mort d'ennui. 

En preuve, voici le cimetière.

Le "Velcro australien", la fleur du Grevillea caleyi, un arbuste endémique d'Australie.

C'est tout, rien à ajouter, on part d'ici !

Le Queensland du Nord

Cairns : Petit tour en tchou-tchou touristique jusqu'à Kuranda.

Cette excursion à Kuranda nous a fait passer par la forêt pluvieuse.

Détail d'une feuille de palmier.

Beaux petits fruits.

Aquamarine (Strongylodon macrobotrys) - 1.

Aquamarine (Strongylodon macrobotrys) - 2.

Aquamarine (Strongylodon macrobotrys) - 3.

Le tour de train nous a permis de voir cette belle chute.

Retour à la gare pour mieux repartir.

La côte du Queensland

Brisbane : Petit tour en tchou-tchou touristique jusqu'à Kuranda.

La Sunshine Coast, plus intéressante (pittoresque) que la Gold Coast. 

L'archontophoenix du palmier de Brisbane.
Je suis certain que vous saviez son nom, n'est-ce pas ? 

Brisbane : Nous avons raté de justesse la chance de savourer le même repas servi en Première classe,
dans le cadre de l'événement Titanic.

Sydney

Sydney : Ville d'océan et de lumière... un vrai plaisir d'y séjourner.

L'emblème de la ville, l'Opéra de Sydney...
Une vraie fleur dans le port de la ville, où nous avons assisté à l'opéra Les pêcheurs de perles, de Bizet. 

L'Opéra de Sydney - Détail - 1.

L'Opéra de Sydney - Détail - 2.

L'Opéra de Sydney - Détail - 3.

L'Opéra de Sydney - Détail - 4.

Juste l'enseigne nous donne le goût d'y entrer.

Ça parait que la ville a eu les Olympiques en l'an 2000...
les nageurs australiens n'ont pas peur de s'afficher.

La vue de notre chambre d'hôtel.

Nous décidons de traverser le célèbre pont de Sydney...
à défaut de pouvoir l'escalader.

La traversée est très agréable...

... et nous offre une très belle vue sur la ville et son opéra.

Toute cette eau, nous donne le goût de prendre le large pour se rendre...  

... au Darling Harbour et à Cockle Bay...

... pour voir les navires...

... et le musée maritime qui se donne des airs contemporains...

... voire "impressionnistes", entendre impression sur le mur !!!...

... mais pas uniquement !

Les poissons y sont toujours frais... Nice Catch !

Après tant de visites, les fameux hamburgers de chez Grill'd, pour se donner des forces pour continuer. 
(Peut-être notre plus belle découverte gustative de l'Australie... à s'en lécher les doigts)

Le Paradis pour L'Autre, le Queen Victoria Building, un centre commercial avec du style.

Il y avait même un peu de chez-nous... 
une estampe du Rocher (doublement) percé... 
que je me suis empressé de rapatrier chez moi. 

L'architecture et la rénovation de cet immeuble sont sensationnelles.

Regardez-moi cette cage d'escalier.

Même à l'autre bout de la planète, Venise n'est jamais loin.

Sydney ce n'est pas que l'eau, c'est aussi la verdure de ses parcs...

... et son jardin botanique royal où on se laisse charmer par les belles couleurs des... 

... plantes grasses (dans ce cas-ci une rosette succulente)... 

... de l'agave attenuata...

... de l'aloès David Verity (particulièrement en forme)...

... l'aloès à fleurs orangées...

Un dernier petit regard sur les deux icônes de Sydney.

Après tout ce bon temps, nous sommes sur notre départ.

Au revoir Sydney et l'Australie.